l'almanach des sports
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l'almanach des sports
par David Mcfly » 12 Nov 2002, 18:14
Je crois avoir trouver une erreur qui n'a pas encore été cité. Dans bttf2, quand Marty prend l'almanach du blouson à Biff, il y a la couverture de l'almanach des sports alors que logiquement il ne devrait pas y avoir de couverture ou alors celle du magasine Oh là là. Voilou
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David Mcfly - Balayeur chez Lou
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par Seamous 1885 » 12 Nov 2002, 18:34
Je l'avais signalé. J'ai écris une page (<A href="http://www.retourverslefutur.com/films.html">ici</A>) qui regroupe les anecdotes de la trilogie, même s'il en manque beaucoup.
A propos, de l'almanach. Si un vieux venait une seule journée avec un livre qui prédit l'avenir, ne vous douteriez pas qu'il s'agit de vous plus tard ? Je pense que Biff a fini par s'en douté mais n'a pas osé le dire à Marty.
A propos, de l'almanach. Si un vieux venait une seule journée avec un livre qui prédit l'avenir, ne vous douteriez pas qu'il s'agit de vous plus tard ? Je pense que Biff a fini par s'en douté mais n'a pas osé le dire à Marty.
La passion, elle se cache au plus profond de nous-mêmes, elle fait semblant de dormir, elle attend son heure et d’un seul coup, alors que l’on ne s’y attend plus, elle se réveille, elle ouvre ses mâchoires et ne nous lâche plus. La passion nous entraîne, nous pousse et finit par nous imposer sa loi et nous lui obéissons. Que pouvons-nous faire d’autre ? La passion est la source des moments les plus rares, la joie de l’amour, la lucidité de la haine, la jouissance de la douleur. Quelquefois, la douleur est si forte que l’on ne peut plus la supporter, si l’on pouvait vivre sans passion, sans doute serions-nous moins torturés; mais nous serions vides, espaces déserts, sombres et glacés. Sans passion, nous serions véritablement morts.
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par Elwë » 12 Nov 2002, 18:43
T'es sur ? Vu que l'almanach a 2 couvertures (dont une qui protège de la poussière, naturellement avant qu'on invente le papier auto dépoussiérant 
) et que cette couv est sur Oh la la dans le bureau de Strickland, et bien l'almanach a sa couv d'origine ! Enfin c'est ça ou pas 
?
) et que cette couv est sur Oh la la dans le bureau de Strickland, et bien l'almanach a sa couv d'origine ! Enfin c'est ça ou pas ?Qui sait, peut-être qu'on se reverra un jour futur ?
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par Seamous 1885 » 12 Nov 2002, 19:02
Je penche plutôt pour ceci. Samedi soir (le 12 novembre 1955, suivez un peu), Biff a compris la valeur du livre. Il ne pouvait pas laisser la couverture dans la nature, le risque était trop grand. Il a pu aller le rechercher en douce le dimanche par effraction.
Mais ton idée de couverture est intéressante, car c'est vrai que l'on a déjà parlé de la couverture. L'almanach a bien une jaquette, il doit y avoir une autre couverture dessous. Malgré tout, il me semble bien, en 1985A, que la jaquette est toujours là.
Il y a encore une autre explication. C'est marty qui a attiré, sans le faire exprès, Strickland. Donc, dans la version où Biff a l'almanach sans que Marty le récupère, Strickland n'a pas surpris Biff et n'a pas jeté la couverture.
Mais ton idée de couverture est intéressante, car c'est vrai que l'on a déjà parlé de la couverture. L'almanach a bien une jaquette, il doit y avoir une autre couverture dessous. Malgré tout, il me semble bien, en 1985A, que la jaquette est toujours là.
Il y a encore une autre explication. C'est marty qui a attiré, sans le faire exprès, Strickland. Donc, dans la version où Biff a l'almanach sans que Marty le récupère, Strickland n'a pas surpris Biff et n'a pas jeté la couverture.
La passion, elle se cache au plus profond de nous-mêmes, elle fait semblant de dormir, elle attend son heure et d’un seul coup, alors que l’on ne s’y attend plus, elle se réveille, elle ouvre ses mâchoires et ne nous lâche plus. La passion nous entraîne, nous pousse et finit par nous imposer sa loi et nous lui obéissons. Que pouvons-nous faire d’autre ? La passion est la source des moments les plus rares, la joie de l’amour, la lucidité de la haine, la jouissance de la douleur. Quelquefois, la douleur est si forte que l’on ne peut plus la supporter, si l’on pouvait vivre sans passion, sans doute serions-nous moins torturés; mais nous serions vides, espaces déserts, sombres et glacés. Sans passion, nous serions véritablement morts.
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Seamous 1885 - Lecteur de Playboy
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