par Seamous 1885 » 10 Juin 2003, 19:38
Comme pour un contrat ? C'est un point de vue interresant mais que je ne comprend pas trop. Tu devrais develloper cela.
A mon avis, la chose se passe comme cela:
1) Les 2 Docs se rencontrent. Le jeune Doc a un doute, sans plus. Le vieux ne se souvient pas de la rencontre.
2) Le jeune Doc est devenu moins jeune et rencontre le Doc moins vieux en 1955. Il se souvient alors de la rencontre et comprend.
Bref, il faut raisonner en 4 dimensions. Il y une réalité dans laquelle Doc se souvient de la rencontre et une autre (la première) où il ne s'en souvient pas pour ne pas l'avoir vécu.
Le problème de cette hypothèse, qui semble si logique, se produit dans RVLF3. Si Marty retournait directement en 1985 comme demandé, il arriverait dans un monde dans lequel Doc n'est pas tué par Tannen puisqu'il a été prévenu en voyant sa pierre tombale. Comme pour la scène des 2 Docs, il y a 2 scènes du farwest: Doc se souvient ou non de la pierre tombale. Donc, Marty devrait arriver dans la seconde version puisqu'arrivant en 1985 après le départ de Doc (qui a lieu en 1955).
On peut m'objecter que c'est pas une contradiction formelle. Simplement une erreur de Doc de 1955, qui ne maitrise pas encore les paradoxes temporelles avec la même aisance que son homologue de 1985, qui a l'avanantage de connaitre le fonctionnement du cvonvecteur et donc les lois qui le régisse.
Le débat est ouvert.
La passion, elle se cache au plus profond de nous-mêmes, elle fait semblant de dormir, elle attend son heure et d’un seul coup, alors que l’on ne s’y attend plus, elle se réveille, elle ouvre ses mâchoires et ne nous lâche plus. La passion nous entraîne, nous pousse et finit par nous imposer sa loi et nous lui obéissons. Que pouvons-nous faire d’autre ? La passion est la source des moments les plus rares, la joie de l’amour, la lucidité de la haine, la jouissance de la douleur. Quelquefois, la douleur est si forte que l’on ne peut plus la supporter, si l’on pouvait vivre sans passion, sans doute serions-nous moins torturés; mais nous serions vides, espaces déserts, sombres et glacés. Sans passion, nous serions véritablement morts.