par Seamous 1885 » 24 Juin 2003, 13:02
Le début est exactement le même, mais la suite est plus "action". Je raconte. Attention spoilers.
Comme dans l'autre film, HG Wells invite ses amis à une démonstration de sa machine, à la fin du 19e S. Mais pendant le diner, la police débarque car Jack L'éventreur vient de tuer une nouvelle prostitué, et la police l'a suivi jusque la maison. Il s'agit en fait d'un invité, ami de HG Wells. Mais pendant que la police inspecte la maison, il se réfugie dans la pièce secrète et s'enfuie avec la machine en 1979. La machine est equipé d'un retour automatique, et Wells peut alors le poursuivre.
S'ensuie une longue poursuite dans le présent (de l'époque de sortie du film). Jack l'éventreur continue ses crimes. Finalement, avec l'aide de sa nouvelle petite amie, il parvient à l'arreter. Pour cela, il voyage dans le futur quelque jours pour savoir le nom de la prochaine victime. Le film est sortie avant RVLF mais je ne sais plus si on a droit à un passage où le journal change.
Le film se moque de la société (Jack croit que tout ce qu'il voit à la télé est vrai et que le monde est remplie d'assassin pire que lui).
A noter que Wells se transporte dans la même machine plus tard. Celle-ci se trouvant au musée HG Wells de Los Angeles, l'histoire passe der l'Angleterre aux USA. Le temps passé dans la machine est proportionnel aux décalage temporel. Le temps où la machine a disparu permet à Wells de calculer la date d'arrivée.
Le même scénariste à écrit un autre film, dont j'ai oublié le nom hélas, qui raconte l'inverse. Un policier du futur poursuit un criminel dans notre présent. Ce film contient la célèbre réplique: "Notre futur, c'est maintenant".
La passion, elle se cache au plus profond de nous-mêmes, elle fait semblant de dormir, elle attend son heure et d’un seul coup, alors que l’on ne s’y attend plus, elle se réveille, elle ouvre ses mâchoires et ne nous lâche plus. La passion nous entraîne, nous pousse et finit par nous imposer sa loi et nous lui obéissons. Que pouvons-nous faire d’autre ? La passion est la source des moments les plus rares, la joie de l’amour, la lucidité de la haine, la jouissance de la douleur. Quelquefois, la douleur est si forte que l’on ne peut plus la supporter, si l’on pouvait vivre sans passion, sans doute serions-nous moins torturés; mais nous serions vides, espaces déserts, sombres et glacés. Sans passion, nous serions véritablement morts.