par Seamous 1885 » 03 Oct 2002, 20:08
Oui, c'est possible. Mais uniquement pour regarder. Comme dit Manu, si on tombe, on s'électrocute. Il faut donc le mettre en vitrine. Le Hoverboard sera relié à une prise par un fil discret. Ca gache un peu l'effet "volant" mais si le fil n'est pas tendu, ca donne bien tout de même (enfin, j'ai jamais essayé). Une batterie dispose de trop peu d'autonomie.
Mais il y a des parades pour éviter l'usage de l'electricité comme force utile. On peut se servir de la force magnétique. Avantage: on peut toucher le sol et les plaques sans danger. Inconvénient: la force est très faible et il faudra de très grosses plaques (énormes !).
Il en existe une autre, farfelue. On peut construire le Hoverboard en ... anti-matière. Je m'emporte un peu. Ce Hoverboard sera repoussé vers le sol à 9.81m/s2 (comme de la matière ordinaire, mais dans l'autre sens). Inconvénient (outre le coût de plusieurs milliards d'euros): On ne peut pas le toucher. On pourrait aussi construire la route en anti-matière (si on peut la poser) mais la moindre chute signifie une désintégration immédiate. Enfin, il faut retenir le Hoverboard (qui monte indéfiniment) par une masse réelle de masse comparable à la masse terrestre. Mais je sens que je me laisse aller dans cet article à une succesion de délires physiques.
La passion, elle se cache au plus profond de nous-mêmes, elle fait semblant de dormir, elle attend son heure et d’un seul coup, alors que l’on ne s’y attend plus, elle se réveille, elle ouvre ses mâchoires et ne nous lâche plus. La passion nous entraîne, nous pousse et finit par nous imposer sa loi et nous lui obéissons. Que pouvons-nous faire d’autre ? La passion est la source des moments les plus rares, la joie de l’amour, la lucidité de la haine, la jouissance de la douleur. Quelquefois, la douleur est si forte que l’on ne peut plus la supporter, si l’on pouvait vivre sans passion, sans doute serions-nous moins torturés; mais nous serions vides, espaces déserts, sombres et glacés. Sans passion, nous serions véritablement morts.