D'après le site
http://www.thinkroadsafety.gov.uk/keepleft/french.htm
On a 70 mph = 112 km/h
Donc, 88 mph = 112/70 * 88 km/h = 140.8 km/h
140.8 km/h = 140800 m / 3600 s = 39.11 m/s
Le convecteur doit parcourir 39.11 mètre par seconde.
Le point foudroyé tourne sur lui-même et donc ne se déplace pas. Il s'agit du centre, qui se situe quelque part sur la Delorean, probablement vers le milieu.
Soit X = distance entre le centre et le convecteur temporel.
A chaque tour, la distance parcourue est de 2 * pi * X
Soit T le nombre de tours/secondes.
Distance parcourue sur une seconde = T * 2 * pi * X
Or, 39.11 = T * 2 * pi * X
Donc, T = 39.11 / 2 / pi / X
39.11 / 2 / pi = 6.22
Donc, T = 6.22 / X
Si X = 0.5 m (50 centimètres, ce qui semble raisonnable)
Alors T = 6.22 / 0.5 = 12.44
Donc, l'estimation vaut 12.44 tours/secondes.
La fonction est inversement proportionnelle à X.
Cette nuit, j'avais écrit "minutes", ce qui était erroné.
Bien sur, Doc n'a pas subit cette vitesse très longtemps.
Fred, je suis d'accord avec toi. Tu as du mal me comprendre. Oui, trafiquer le compteur ne sertt à rien, sinon à fausser l'indicateur de vitesse. Le convecteur n'est pas relié à cet indicateur. Quand il atteint la vitesse, il agit. La voiture est un moyen uniquement. On pourrait aussi bien fixer le convecteur sur un vélo, un cheval, ... Mais la voiture est le meilleur moyen car les véhicules précités n'ont pas une vitesse suffisante. Le train marche également.
La passion, elle se cache au plus profond de nous-mêmes, elle fait semblant de dormir, elle attend son heure et d’un seul coup, alors que l’on ne s’y attend plus, elle se réveille, elle ouvre ses mâchoires et ne nous lâche plus. La passion nous entraîne, nous pousse et finit par nous imposer sa loi et nous lui obéissons. Que pouvons-nous faire d’autre ? La passion est la source des moments les plus rares, la joie de l’amour, la lucidité de la haine, la jouissance de la douleur. Quelquefois, la douleur est si forte que l’on ne peut plus la supporter, si l’on pouvait vivre sans passion, sans doute serions-nous moins torturés; mais nous serions vides, espaces déserts, sombres et glacés. Sans passion, nous serions véritablement morts.