par Seamous 1885 » 05 Juin 2003, 16:28
Voici quelques explications:
HTML: langage web. Un logiciel de navigation (internet explorer, ...) est capable de prendre ce code et de le traduire en une présentation web. (Pour voir le code HTML de n'importe quelle page web, afficher la source dans le menu affichage).
SQL: base de donnée muni d'une interface. Le SQL est un ensemble de champ et de valeurs. Il existe des commandes pour extraire l'information (Quelle est le numéro de téléphone de Jacques ? Combien d'étudiants sont inscrits en histoire ? Quel travailleur a le salaire le plus élévé ? ...), pour en ajouter (un nouvel étudiant), ou modifier.
PHP: Langage web orienté serveur. Cela signifie que le serveur créé une page HTML et l'envoie au client, qui l'affiche. Le client ne voit pas le code source PHP, mais uniquement le code HTML (s'il veut l'afficher). Contrairement à une page écrite en HTML (qui affiche toujours la même chose), une page PHP peut afficher des choses différents en fonction du contenu d'un base SQL (qu'il peut modifier et consulter), des valeurs entrés dans un formulaire par l'utilisateur, de la date, ... Les pages sont dynamiques.
Par exemple, dans un forum les messages sont stockés dans une base de donnée SQL (ici MySQL, qui est la marque). Des pages PHP affichent ces données brut dans un cadre agréable.
La passion, elle se cache au plus profond de nous-mêmes, elle fait semblant de dormir, elle attend son heure et d’un seul coup, alors que l’on ne s’y attend plus, elle se réveille, elle ouvre ses mâchoires et ne nous lâche plus. La passion nous entraîne, nous pousse et finit par nous imposer sa loi et nous lui obéissons. Que pouvons-nous faire d’autre ? La passion est la source des moments les plus rares, la joie de l’amour, la lucidité de la haine, la jouissance de la douleur. Quelquefois, la douleur est si forte que l’on ne peut plus la supporter, si l’on pouvait vivre sans passion, sans doute serions-nous moins torturés; mais nous serions vides, espaces déserts, sombres et glacés. Sans passion, nous serions véritablement morts.