par Seamous 1885 » 24 Juin 2003, 21:52
Voici commen faire.
Le modem ADSL doit être branché sur le pc de bureau équipé de Windows pro (c'est le plus simple).
Premièrement, tu dois aller dans les connexions réseau de chaque machine: démarrer/paramètres/panneau de configuration/connexion réseau. Attention, il faut peut-être basculer vers l'affichage classique (option de gauche) quand tu es dans le panneau de configuration.
Tu cliques sur la connection réseau (pas internet). propriétés. Tu cliques que TCP/IP. Ne prend pas une adresse automatique, il vaut mieux prendre la manuelle:
IP: 192.168.000.001
masque de sous-réseau: 255.255.255.0
Ca c'est pour le serveur. Pour les autres, c'est idem, mais tu remplace le 1 par 2, 3, 4 (un différent par machine).
Quand tu es dans les connexion réseaux, pour le serveur:
Menu/nouvelle connexion.
Je ne peux le faire car c'est déjà fait, mais il suffit de suivre les instructions. Tu as le choix entre serveur ou client. Tu choisis serveur.
Ensuite, on te propose de créer une disquette d'installation. Tu utilises une disquette vierge et tu en cré une.
Une fois fini, tu redemarre la machine.
Sur le portable avec win xp, tu fais le même mais en choisissant "client" (et plus besoin de faire une disquette). Normalement, on te proposera les serveurs disponibles, et il n'y en aura qu'un.
Tu utilises la disquette pour l'installer sur win98, il suffit de la mettre et de cliquer sur le fichier.
J'espère avoir été clair.
La passion, elle se cache au plus profond de nous-mêmes, elle fait semblant de dormir, elle attend son heure et d’un seul coup, alors que l’on ne s’y attend plus, elle se réveille, elle ouvre ses mâchoires et ne nous lâche plus. La passion nous entraîne, nous pousse et finit par nous imposer sa loi et nous lui obéissons. Que pouvons-nous faire d’autre ? La passion est la source des moments les plus rares, la joie de l’amour, la lucidité de la haine, la jouissance de la douleur. Quelquefois, la douleur est si forte que l’on ne peut plus la supporter, si l’on pouvait vivre sans passion, sans doute serions-nous moins torturés; mais nous serions vides, espaces déserts, sombres et glacés. Sans passion, nous serions véritablement morts.