Une question de logique que vous vous êtes tous posés sans oser vous l'avouer : vous et moi savons parfaitement qu'en débarquant aux Amériques, les Colons européens ont amené avec eux tout une faune virale et bactérienne qui a décimé bon nombre de tribus indiennes.
Or, pourquoi ne fut-ce pas le contraire?
D'où nous venait notre résistance à certains virus comme la carie, la grippe et autres saletés apparemment bégnines en Europe?
Moi, je connais la raison et je vous mets au défi de m'apporter la réponse!
F-9000
Notre résistance supérieure aux virus de la grippe, de la dycentrie et autres bactéries mineures s'explique par
Les indigènes du Nouveau-Monde, eux, ne disposaient pas d'une telle variété d'animaux d'élevage et, comme vous vous en doutez, n'ont pas pu se prémunir contre nos maladies (bénines pour nous mais mortelles pour eux). 
Et si le même drame sanitaire ne s'est pas produit en Asie ou en Afrique, c'est tout simplement parce que ces deux derniers continents ont toujours entretenu des échanges fournis avec la vieille Europe. Il y avait déjà eu d'intenses vagues d'invasion et d'exploration des deux cotés de l'Oural et de la Méditerrannée. En outre, la population africaine n'a jamais cessé d'augmenter, malgré la traite des Noirs.
Cependant, les Conquistadors furent tout de même incommodés par certaines maladies amérindiennes inconnues (comme la malaria); au XIX° siècle, certains explorateurs britanniques de l'Afrique Centrale succombèrent de fièvres douloureuses contre lesquelles les Noirs du coin étaient naturellement immunisées (le Virus Ebola, par exemple). Mais ces désagréments n'empêchèrent pas l'hégémonie européenne sur le monde...
