26 Déc 2006, 00:56
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26 Déc 2006, 18:03
CyrilusOne a écrit:Rest in Peace = repose en paix...
Encore un grand chanteur qui disparait même si dans la vie privée il était pas commode il battait ses femmes
26 Déc 2006, 18:15
26 Déc 2006, 20:20
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27 Déc 2006, 00:07
27 Déc 2006, 00:27
James Brown mort à 73 ans, Sex Machine
Une des plus grandes légendes de la Soul et du Funk s'est éteinte très tôt dans la nuit de Noël, j'ai nommé le Godfather of Soul, James Brown, à l'âge de 73 ans, d’un arrêt cardiaque suite à une pneumonie.
Retour donc sur un artiste qui a marqué le 20e siècle. Né en Georgie, parmi les Etats du Sud où le racisme était monnaie courante, James Brown a été boxeur, chanteur de gospel et malfrat avant d'être l'interprète d'immenses classiques incontournables comme "I Feel Good", "Sex Machine", "The Payback" ou encore "Living In America". Un parcours musical glorieux, bête de scène et véritable figure emblématique afro-américaine, agrémenté de quelques mauvaises passes qui lui ont valu quelques séjours en garde à vue pour possession de drogue.
Ses pas de danses et son style ont fait de lui l'influence première de Michael Jackson notamment. Et si on pouvait le considérer comme l'un des pères de le Soul et se revendique comme le fondateur du Funk, nuls doutes qu'il a aussi grandement marqué le rhythm'n blues et aussi le rap, puisqu'énormément d'artistes ont samplé ses œuvres.
27 Déc 2006, 00:43
Le chanteur américain James Brown, légendaire interprète de "Sex machine" et "I feel good", est décédé le jour de Noël d'une grave pneumonie. "Le Parrain de la soul" était âgé de 73 ans.
La soul music a perdu son parrain. Le chanteur américain James Brown, qui se présentait lui-même comme "le parrain de la soul", est décédé le jour de Noël à Atlanta d'une grave pneumonie, selon CNN. Agé de 73 ans, le légendaire interprète de tubes tels que Sex machine, I feel good ou encore It's a man's man's, man's world, avait popularisé la soul music et le funk dans les années 60 et 70, influençant une nouvelle génération de chanteurs noirs à l'origine du rap ou du hip-hop. Et si la scène était son lieu de prédilection, le grand écran avait également vibré au rythme des musiques de Mister Dynamite.
Une légende au croisement des genres
Né le 3 mai 1933 dans une famille pauvre de la campagne de Géorgie, James Joseph Brown est d'abord rabatteur de prostituées, cireur de chaussures puis boxeur. A seize ans, il découvre le gospel en prison. C'est le début d'une vocation : il devient le roi du rythm'n'blues et l'idôle de la communauté noire. Dans les années 60 et 70, il popularise la soul music et le funk avec des tubes comme Sex machine, I feel good ou encore It's a man's man's, man's world. Sa présence hallucinante sur scène lui vaut de nombreux surnoms, de Mister Dynamite à Soul Brother en passant par Original Disco Man. Au fil d'une carrière pour le moins cahotique, James Brown aura marqué de son empreinte les genres de la soul, mais surtout du rap, du disco ou encore du funk, exerçant une influence majeure sur la musique des cinquante dernières années.
Une renaissance par le cinéma
Après une traversée du désert, James Brown revient au premier plan grâce au cinéma. En 1980, dans The Blues Brothers, son interprétation endiablée du révérand Cleophus James fait date. Six ans plus tard, il s'illustre au générique de Rocky IV, dont il compose le tube Living in America. En 1998, il est enfin à l'affiche du documentaire culte When We Were Kings. Si les années 80 sont sombres, avec de nombreuses condamnations et des séjours entre les barreaux, James Brown est célébré par un Grammy pour l'ensemble de son oeuvre, en 1992. The Godfather restera jusqu'au bout fidèle à sa réputation de showman, ses pas de danse frénétiques faisant chauffer les scènes du globe jusqu'à ses dernières heures. James Brown était d'ailleurs programmé en concert le 24 juin prochain au Palais des Sports de Paris.
Décès du "Parrain de la soul" James Brown à l'âge de 73 ans
ATLANTA (AP) - Le "Parrain de la soul" James Brown est mort, a annoncé son agent, tôt lundi. Il était âgé de 73 ans.
Dimanche, James Brown avait été hospitalisé pour une pneumonie et est mort vers 1h45 locales, a précisé son agent Frank Copsidas de la société Intrigue. Son ami de longue date Charles Bobbit était à son chevet, a ajouté Copsidas.
Selon Copsidas, le légendaire chanteur espérait tout de même se produire sur scène le week-end prochain. Il avait dû annuler deux concerts cette semaine mais espérait être remis sur pieds pour son spectacle prévu samedi à Red Bank (New Jersey).
Copsidas a déclaré que la famille de l'interprète de "Sex Machine" avait été informée de son décès dont la cause de la mort n'est pas encore connue. "Nous ne savons pas vraiment au moment où je vous parle de quoi il est mort", a dit Copsidas.
Tout au long de sa longue et parfois cahotique carrière, il aura collectionné les surnoms aussi dithyrambiques que colorés tels que "Soul Brother", "Mister Dynamite" ou encore "Original Disco Man".
En compagnie d'Elvis Presley, Bob Dylan et une poignée d'autres, James Brown aura exercé une influence majeure sur la musique des 50 dernières années. Il a été idolâtré par au moins une génération qui n'hésitait pas à l'imiter ouvertement. Ses pas de danse rapide hérités de sa longue pratique de la boxe ont notamment inspiré Mick Jagger et Michael Jackson entre autres.
Si les fans de Ray Charles ou de Sam Cooke peuvent légitimement lui contester le titre d'inventeur de la soul, James Brown aura incontestablement marqué de son empreinte les genres du rap, du disco ou encore du funk.
"James avait à l'évidence le meilleur groove", avait déclaré à l'Associated Press le rapper Chuk D de "Public Enemy". "A ce jour, personne n'a été aussi funky. Il n'y en même pas un qui pourrait s'en approcher".
James Brown en était convaincu. Ainsi lors d'une interview qu'il avait accordée à l'Associated Press en 2003, il déclarait sans modestie aucune: "Le disco c'est James Brown, le hip-hop c'est James Brown, le rap c'est James Brown; vous entendez ce que je dis? Quand vous écoutez tous ces rappers, 90% de leur musique vient de moi".
Né le 3 mai 1933 dans une famille pauvre de la campagne de Géorgie, James Joseph Brown est élevé en partie dans un bordel et endure la ségrégation raciale et le racisme en vigueur alors dans le Sud profond. A 7 ans, il est rabatteur de prostituées avant de devenir cireur de chaussures et boxeur. A 16 ans, en 1949, il est arrêté pour vol et restera quatre ans dans un pénitencier où il découvre le gospel.
Un temps boxeur puis joueur de baseball semi-professionnel, il intègre un groupe vocal. Mais il lui faudra attendre 1956 pour connaître son premier vrai succès "Please, Please, Please" puis "Try Me" en 1958. En l'espace de trois ans, James Brown devient le roi du rythm&blues et l'idole de tous les Noirs. La consécration définitive arrivera en 1970 avec la sortie du mythique "Sex Machine".
Des années 1950 jusqu'au milieu des années 1970, Brown s'est lancé dans une série frénétique de tournées, de concerts et d'albums, héritant du surnom "travailleur le plus acharné du show business".
Après une traversée du désert, James Brown reviendra au premier plan grâce au cinéma grâce notamment aux "Blues Brothers" dans lequel il interprète magistralement un prédicateur ou encore "Rocky IV" pour son tube "Livin' in America". Il fera son entrée au Rock and Roll Hall of Fame en 1986, l'année de la sortie de "Rocky IV". AP
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