par Seamous 1885 » 23 Sep 2002, 19:25
J'ai comparé de nombreuses scènes en écoutant attentivement mes VHS et mes DVDs. Bonne nouvelle, il n'y a pas de différence. Ce n'était qu'une impression car le son donne mieux en DVD mais les intonations sont rigoureusement pareilles.
Restes quelques changements. Il est possible qu'il y en ai d'autres.
- Le début de RVLF3 (uniquement le passage avec "bonsoir les enfant", ca revient normal dès que Doc enregistre ses souvenirs de la veille.) est un peu différent. Le son était sans doute de mauvaise qualité.
- Lorsque Marty consulte l'annuaire, on entend sa montre. C'est étrange car j'avais cru comprendre que Lou entendait bien sa montre (confirmez-vous ?), mais pas sur ma K7 (on entend pas la montre sonner). Or, en DVD, on entend très clairement la montre sonné. Mais le doublage reste identique (j'ai revu plusieurs fois les 2 versions pour m'en assurer).
Tout ceci vient de la stéréo. Je n'ai pas testé le DTS.
Quelques changements graphiques: les mots anglais apparaissant à l'écran sont traduits en francais dans un sous-titre, et RVLF ne finit plus avec le célèbre "à suivre". Mais on voit la bande-annonce de RVLF3 à la fin du 2.
De toute facon, je ne peux qu'encourager l'achat des DVDs car les Bonus sont superbes, j'ai appris plein de trucs (et oui c'est encore possible). Ne chicanez pas pour quelques changements dans la bande-son.
La passion, elle se cache au plus profond de nous-mêmes, elle fait semblant de dormir, elle attend son heure et d’un seul coup, alors que l’on ne s’y attend plus, elle se réveille, elle ouvre ses mâchoires et ne nous lâche plus. La passion nous entraîne, nous pousse et finit par nous imposer sa loi et nous lui obéissons. Que pouvons-nous faire d’autre ? La passion est la source des moments les plus rares, la joie de l’amour, la lucidité de la haine, la jouissance de la douleur. Quelquefois, la douleur est si forte que l’on ne peut plus la supporter, si l’on pouvait vivre sans passion, sans doute serions-nous moins torturés; mais nous serions vides, espaces déserts, sombres et glacés. Sans passion, nous serions véritablement morts.