Pourquoi Doc sort avec la Delorean du camion au début du film?
Le camion semble trop petit pour penser qu'il est monter dans le camion, ouvert les portes de la Delorean et en sortir....
Comment, il a sortit la voiture du camion sans ouvrir les portes? En la tirant....? Et pourquoi est-il entrer encore dans le camion, fermé celui-ci, pour ressortir quand Marty arrive....?
Je suis sure qu'il y a une réponse à ca, expliquez moi s'il vous plait! :)
Question existentiel!!!
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Question existentiel!!!
par Morsoth » 18 Déc 2002, 06:06
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Morsoth - Employé chez Roy's Records
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- Inscription: 03 Oct 2002, 18:57
par Seamous 1885 » 18 Déc 2002, 11:46
Il est monté dans la Delorean, puis est rentré dans le camion. Il a attendu Marty. Quand il est arrivé, il est resortis.
Le but ?
Impressionner Marty, comme à chaque fois. Doc aime impressionner Marty. La même chose se produit à la fin du film. Doc arrive en roulant mais repart en volant. Le but est simplement d'impressionner. La même chose se produit encore à la fin du troisième film.
Doc est fort théatrale. Il aime les belles mises en scènes.
Le but ?
Impressionner Marty, comme à chaque fois. Doc aime impressionner Marty. La même chose se produit à la fin du film. Doc arrive en roulant mais repart en volant. Le but est simplement d'impressionner. La même chose se produit encore à la fin du troisième film.
Doc est fort théatrale. Il aime les belles mises en scènes.
La passion, elle se cache au plus profond de nous-mêmes, elle fait semblant de dormir, elle attend son heure et d’un seul coup, alors que l’on ne s’y attend plus, elle se réveille, elle ouvre ses mâchoires et ne nous lâche plus. La passion nous entraîne, nous pousse et finit par nous imposer sa loi et nous lui obéissons. Que pouvons-nous faire d’autre ? La passion est la source des moments les plus rares, la joie de l’amour, la lucidité de la haine, la jouissance de la douleur. Quelquefois, la douleur est si forte que l’on ne peut plus la supporter, si l’on pouvait vivre sans passion, sans doute serions-nous moins torturés; mais nous serions vides, espaces déserts, sombres et glacés. Sans passion, nous serions véritablement morts.
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Seamous 1885 - Lecteur de Playboy
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