Le résumé du 1er scénario de BTTF1 !

par **Manu R. McFly** » 05 Avr 2004, 22:19

JohnRoot MERCI ! C'est trop passionant à lire !!!!! C'est que du bonheur ! :a19:

JohnRoot a écrit:j'aimerai bien voir un beau script tout propre à la fin et pourquoi pas, voir Manu le mettre sur le site ;)

Ah mais là c'est SANS AUCUN PROBLEME !!!!!!! :a33:

par **JohnRoot** » 07 Avr 2004, 10:16

désolé pour le sevrage les cocos mais là g u des petits exams alors la traduction devrait reprendre tres vite maintenant :cool:

par **FAB** » 07 Avr 2004, 12:07

C'est vraiment GENIAL, je veut voir la suite !!! :a19:

par **JohnRoot** » 09 Avr 2004, 11:12

bah ya k'à demander ! je m'y remets vite fait les cocos :mrgreen:

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Marty est terriblement surprit de voir son père, à tel point que toute la classe le regarde. Mr. Arky tente de l’ignorer de son mieux et invite George à poursuivre. Le père de Marty se lève doucement, comme s’il se rendait à son exécution. Marty plonge la tête entre ses mains, n’y croyant toujours pas. George demande au professeur de répéter la question mais Biff lui ordonne de se rasseoir à ce minus ! Une boulette est crachée dans son cou et il se rassoit aussitôt, rougissant. Marty se retourne énergiquement vers Biff et lui jette un regard furieux. Il lui conseille de lui foutre la paix. Biff le regarde en retour, les yeux injectés de sang. Mr. Arky met fin à sa passivité et demande à Marty de répéter ce qu’il vient de dire. Mais il est tellement concentré à lancer son pire regard à Biff qu’il l’ignore. Le professeur l’appelle de nouveau et Marty se ressaisi. S’il à quelque chose à dire, qu’il en fasse profiter toute la classe. Justement il était en train de se dire que les voitures consommeraient énormément d’essence si elles allaient à 2 ou 300 miles à l’heure, et par conséquent que les réserves de pétrole pourraient s’épuiser…

Les réserves s’épuiser ?! Toute la classe se met à rire ! Mr. Arky semble avoir un pessimiste de première dans sa classe : toutes les études montrent qu’avec les réserves connues et celles à découvrir, tout risque d’épuisement est à écarter. Et même si le problème devait se présenter à la suite d’une catastrophe quelconque, nul doute que la technologie et le génie américains surmonteraient le problème en peu de temps. Quoi qu’il en soit, Marty ferait mieux de réfléchir aux vrais problèmes de ce monde. Dans le fond de la classe, Biff et sa bande commencent à faire des bruits de pets. Ils ont plein de combustible ! La classe éclate de rire à nouveau. Marty se contente de secouer la tête…Peu après, la cloche sonne la fin du cours de science. Tout le monde se rue vers la sortie, y comprit Marty. Il a subit assez d’humiliation pour la journée avec Mr. Arky.

George attend que les autres élèves soient sortis pour rassembler ses affaires et quitter la salle. Marty se détache de la foule et reste près de la porte à l’attendre. Une minute plus tard, Georges avance dans le couloir et Marty patiente un moment avant de le suivre en gardant ses distances. Alors qu’ils approchent d’une intersection, Marty aperçoit Eileen qui marche dans leur direction accompagnée de son amie Madge. Apparemment elle ne regarde pas Marty, ses yeux sont focalisés sur George et elle lui sourit en le saluant. George en est tellement gêné que sa trajectoire change et il percute un autre élève. Eileen et sa copine gloussent et continuent leur chemin. George les suit du regard jusqu’à ce qu’elles soient hors de vue puis il se dirige vers une fontaine. Il se penche mais juge mal la distance car le jet lui arrive en pleine figure. A quelques pas de là, Marty le regarde en secouant la tête tandis qu’il s’essuie le visage. George va ensuite à son casier. Marty l’observe toujours. Il ouvre son cadenas et une pile de livres lui tombe dessus, manquant de l’assommer. Marty soupire…Après que George ait ramassé ses livres, il entre dans la cafétéria. En passant derrière lui, Marty remarque une affiche au mur au sujet du Printemps de la Danse Parisienne le 16 mars. C’est donc bientôt.

Marty porte toujours attention à son père et regarde autour de lui dans la cafétéria : les femmes de cantines fatiguées servent des tranches de rôti trop cuit, de la salade fanée et des tomates pas assez mûres. On dirait que la nourriture n’est pas meilleure maintenant qu’elle ne le sera en 1982, ce qui amuse Marty. George ne semble rien remarqué. En se penchant légèrement, Marty parvient à entendre George chuchoter à lui-même. Il répète la demande qu’il compte formuler à Eileen pour l’inviter danser samedi soir. Soudain un déclic : Marty pose son regard sur l’affiche et se rappelle aussitôt ! C’est à cette soirée que ses parents sont tombés amoureux ! La file avance doucement puis George et Marty en sortent. George regarde parmi le réfectoire bondé, à la recherche de quelqu’un. Marty suit son regard et réalise que George fixe la table où sont assises Eileen, Madge et plusieurs de leurs amies. Il prend une profonde respiration et s’engage vers la table. Marty, pas loin, le suit. Plus George approche de la table, plus ses mains tremblent, secouant tout ce qu’il porte sur son plateau. Il salut Eileen, qui lui renvoie en chaleureux sourire. Marty regarde son futur père : une vraie boule de nerfs. Il commence à lui demander quelque chose mais renverse sa glace. Eileen sourit de nouveau, apparemment ça ne la choque pas. George reprend une grande respiration et commence sa demande… Cet instant est trop important pour être manqué et Marty s’approche un peu plus pour mieux entendre. Malheureusement, Eileen le remarque. Elle l’appelle et lui fait signe de la rejoindre. George se retourne d’un coup et renverse son plateau sur sa chemise. Il s’excuse auprès de Marty et commence à se sauver mais Marty le saisit par le bras. George était supposé inviter Eileen à danser. Mais comment peut-il savoir cela ? Marty le pousse vers Eileen, l’encourageant. George repousse son bras et lui dit de le laisser tranquille. Ca n’est pas le bon moment. De plus, les autres élèves commencent à les regarder. Eileen ayant suivi l’altercation, prend la parole. Elle voudrait savoir si George comptait vraiment l’inviter. Il répond vivement que non, puis se sauve en courant de la cafétéria. Marty est complètement désorienté, ça ne devait pas se passer comme cela, George aurait du faire sa demande…Eileen ne comprend pas vraiment ce qu’il y a de si dramatique dans cette situation. Mais elle regarde Marty d’un air enrôleur et lui fait savoir que personne ne l’a encore invitée… Elle prend son plateau vide et se dirige vers la sortie. Marty s’assoit, désarçonné. Ca n’est pas possible, sa mère qui le drague.

par **JohnRoot** » 09 Avr 2004, 11:14

erratum : George s'écrit sans S (j'ai corrigé mais bon trop tard)

j'ai lu un peu la suite...c'est pas pour faire le salaud mais je peux vous dire qu'il y a des surprises :a38:

par **Joypat** » 09 Avr 2004, 12:22

Vraiment trop trop trop bon !!!!

Vivement la suite :mrgreen:

C'est ça qui devrait faire comme BTTF 4...

par **Manu R. McFly** » 09 Avr 2004, 12:43

JohnRoot a écrit:j'ai lu un peu la suite...c'est pas pour faire le salaud mais je peux vous dire qu'il y a des surprises

Tant mieux !!!!!! :a19:

par **FAB** » 12 Avr 2004, 14:04

JohnRoot a écrit:j'ai lu un peu la suite...c'est pas pour faire le salaud mais je peux vous dire qu'il y a des surprises

salaud !!! lol merci bcp c'est vraiment super, j'attend la suite ! :a19:

par **JohnRoot** » 16 Avr 2004, 11:23

voila bon désolé pour le retard mais ya pas d'argent au bout alors la motivation est moindre lol :a13:

petite note: la poursuite est pour l'instant mon passage favori et j'ai essayé de soigner la traduction du mieux ke je pouvais (ou presque). imaginez ce ke ça aurai donné à l'écran! énorme !

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Le professeur Brown demande avec surprise ce qu’a fait Marty ! Il hurle avant que Marty n’ait fini son explication. La scène se passe dans l’étude du professeur, plus tard dans l’après-midi. Marty est allé voir directement Emmett, ne sachant que faire et ayant besoin de conseils. Mais apparemment son ami prend la nouvelle mieux qu’il ne l’avait espéré. Il se justifie : il ne voulait pas faire ça, c’est un accident. Le professeur secoue la tête. Marty a-t-il seulement conscience de ce que cela veut dire ? De ce que cela implique ? Marty hausse les épaules. Y’a pas de quoi s’inquiéter, il peut arranger ça. Tout ce qu’il a à faire et de mettre ses parents ensemble et s’assurer que son paternel fasse sa demande ! Il a intérêt à ce que la demande soit faite car sinon il n’y aura pas de premier rendez-vous. Et s’il n’y pas de premier rendez-vous, il n’y en aura pas de second. Et s’il n’y en a pas de second, ils ne tomberont pas amoureux. S’ils ne tombent pas amoureux, ils ne se marient pas et s’ils ne se marient pas, Marty ne vient pas au monde ! Marty déglutit avec peine. Les choses sont peut-être un peu plus délicates qu’il ne le pensait.

Le lendemain, Marty emmène George à la brasserie. Les cours sont finis et tous les élèves du lycée y sont, y compris Eileen. George ne sait pas s’il peut être à la hauteur. Il gémit tandis qu’ils s’approchent du bâtiment. Marty évitent deux gamins en trottinettes faites maison qui les dépassent à toute vitesse. Il les regarde un moment : les engins lui font penser à des skateboards. Marty essaie de convaincre George. Eileen est belle, bien élevée, elle est le genre de fille qu’il aimerait épouser. Et il voudrait par-dessus tout l’emmener danser si Marty a bien suivi. George confirme, avec son hésitation habituelle. Alors dans ce cas là c’est bon ! Soudain, George s’arrête, se retourne et regarde Marty d’un air douteux : qui est-il ? Et pourquoi fait-il tout cela ? Marty hésite et explique qu’il vraiment envie de voir George et Eileen aller ensemble à ce bal. Il la désigne du doigt à travers la vitre de la brasserie. Eileen est assise à une table avec Madge et une autre fille, chacune avec une crème glacée et bavardant. Marty pousse George en direction de l’entrée mais George bloque : que va-t-il lui dire ? Marty lui suggère de lui répéter ce qu’il avait préparé à la cafétéria. George secoue vivement la tête : hors de question, c’était pour la cafétéria et là c’est différent ! Marty soupire. Mais pour l’amour de Dieu, c’est vraiment un miracle qu’il soit venu au monde ! Il arrache une page du calepin que George tient à la main et commence à rédiger quelques phrases utiles. George regarde attentivement le stylo de Marty…Ca ressemble à un crayon qui écrit avec de l’encre. George lui ôte le stylo des mains et l’examine. C’est un bike ? Marty rectifie : c’est un Bic. George est très intrigué. Comment se rempli-t-il ? Marty lui répond que l’on ne remet pas d’encre dedans puis, exaspéré, prend George par le bras.

Marty pousse George dans la brasserie, fatigué de tant de procrastination. Aussitôt entrés, Marty le guide vers la table d’Eileen et lui tend la feuille sur laquelle il a écrit. Il répète à George que tout ce qu’il a à faire est d’aller lui demander, Marty l’attendra au comptoir. Il s’assoit sur un tabouret. George le regarde, regarde Eileen, prend une profonde respiration et emboîte le pas puis tout d’un coup, revient au comptoir. Il commande énergiquement un lait fraise. Marty secoue la tête, se demandant s’il va finir par aller voir Eileen. Tandis qu’il attend son verre, George relit les notes de Marty à voix basse, comme s’il essayait de les mémoriser. Un moment après, la commande est servie et il avale une gorgée, lui laissant au passage une moustache rose. Il se retourne et avance en direction d’Eileen. Marty est soulagé : c’est pas trop tôt ! George est encore à plusieurs pas d’Eileen quand elle le remarque. Elle le salue. Il recule d’un pas, sursautant. Il la salue également. Elle lui demande comment il va. Avec son hésitation si singulière, George lui répond qu’il va bien et commence à lui parler de la soirée de samedi…La porte de la brasserie s’ouvre violemment. Biff avait pourtant ordonné à Mc Fly de ne pas remettre les pieds ici ! Tannen entre, trainant sa bande derrière lui. George lui jette un coup d’œil et frissonne. Marty plonge son visage entre ses mains et soupire… Ils y étaient presque ! Biff dit à George que ça va lui coûter cher et lui veut savoir combien il a. George lui demande combien il veut, ouvrant son porte-feuille. Biff traverse la salle en direction de George. Marty tend la jambe et lui fait un croche-pied, faisant tomber la brute. Biff s’étale par terre entraînant une chaise avec lui au passage. Les gens commencent à rire mais Biff fait la gueule. Il ne trouve pas ça drôle. Il se relève et s’approche de Marty qui lui tourne le dos : il va lui donner une bonne leçon à ce connard ! Biff pose la main sur le bras de Marty qui pivote aussitôt sur le tabouret et lui fiche son poing dans la figure ! Biff, qui ne s’y attendait pas, tombe sur une table. Marty saute du tabouret. Le café est plongé dans un silence de mort et les trois hommes de main de Biff avancent vers lui. Marty décide qu’il est temps pour lui de s’éclipser et trace son chemin parmi les adolescents rassemblés sortir dans la rue principale. Marty court dans la rue, Biff est ses acolytes à ses trousses. Un petit coup d’œil par-dessus l’épaule lui permet de voir la distance entre lui et eux se rétrécir. Il va se faire massacrer ! Un des gamins aux trottinettes maison arrive à sa hauteur et Marty a soudain une brillante idée. Il empoigne la trottinette et arrache la caisse orange de la planche avec les roulettes pour en faire un skateboard rudimentaire ! Marty saute dessus et fonce dans la rue. Biff et sa bande s’arrêtent net et le fixent, ébahis, tout comme la foule qui est sorti du café.

Biff ordonne à ses acolytes d’aller à la voiture. Ils tracent vers la décapotable noire, Biff s’installe au volant. Il démarre en trombe, fonçant droit sur Marty. Marty jette un coup d’œil par-dessus son épaule et voit la décapotable gagner rapidement du terrain sur lui. Il tourne d’un seul coup au milieu de la rue et traverse au nez de la voiture de Biff, puis repart en direction de la brasserie. Une voiture le double et il s’accroche à son par-choc, ignorant les regards incrédules des spectateurs, dont Biff est son gang. Biff fait demi-tour en dérapant et continue sa poursuite après Marty. Tandis qu’il passe devant la brasserie, la foule l’encourage. Madge demande à Eileen si elle a vu ça ! Eileen acquiesce la bouche ouverte, impressionnée. La décapotable passe devant le café, rattrapant encore un peu plus Marty. Marty risque un autre coup d’œil. Paniqué, il voit Biff réduire rapidement la distance qui les sépare. Quand va-t-il mettre fin à cette obsession ? Marty reporte son attention devant lui. L’intersection d’Hill Street approche. Instinctivement, il relâche sa prise de la voiture et incline la planche, tournant en direction de l’intersection. Une fois de plus Biff dépasse le tournant et doit faire un autre tête à queue. Hill Street ne s’appelle pas comme ça par hasard : elle est incroyablement pentue. En bas de la côte il y a un croisement avec des feux. Marty sent la planche prendre de la vitesse. Derrière lui, Biff met le pied au plancher, les roues quittant littéralement la route tandis qu’il plonge dans Hill Street ! De nouveau, la distance entre le skateboard et la décapotable se réduit. Marty s’accroupit, augmentant ainsi son aérodynamisme. Il approche du croisement, très vite ! Le feu passe à l’orange.

Fermant les yeux et priant en silence, Marty fonce à travers la circulation, les voitures freinant brusquement et tournant pour l’éviter. Il s’en sort miraculeusement intact. On ne peut pas en dire autant de Biff. Ses freins se bloquent en essayant d’éviter une voiture rouge en face, et les pneus de la décapotable crissent en dérapant en travers de la route. Marty tressailli, sentant arriver l’accident mais la voiture rouge recule au dernier moment et Biff s’encastre dans une voiture de police sur l’autre file ! Deux gros policiers en descendent aussitôt et avance vers Biff, l’air pas contents du tout. Biff lâche un soupir de colère. Il aura ce fils de pute !

par **Manu R. McFly** » 16 Avr 2004, 11:34

JohnRoot a écrit:voila bon désolé pour le retard mais ya pas d'argent au bout alors la motivation est moindre lol
petite note: la poursuite est pour l'instant mon passage favori et j'ai essayé de soigner la traduction du mieux ke je pouvais (ou presque). imaginez ce ke ça aurai donné à l'écran! énorme !

C'est sûr !!! Mais bizarrement là on se rapproche du scénario final pour cette scène !! En tout cas, super boulot JohnRoot !!!! :marty:

par **Continuum** » 16 Avr 2004, 21:58

JohnRoot a écrit:voila bon désolé pour le retard mais ya pas d'argent au bout alors la motivation est moindre lol
petite note: la poursuite est pour l'instant mon passage favori et j'ai essayé de soigner la traduction du mieux ke je pouvais (ou presque). imaginez ce ke ça aurai donné à l'écran! énorme !

Si c'est le manque de motivation qui te ralentit, je peux te payer, si tu veux, c'est du bon boulot que tu nous fais là !

Sinon, à quelques détails, on voit quand même qu'il s'agit d'une première version, heureusement qu'il y a eu 2-3 réécritures après, parce que certains passages ont l'air assez peu travaillés : le coca temporel, la machine statique, Emmett qui vient chercher Marty chez les baines sans le connaître et qui comprend qu'il vient du futur immédiatement, ...
En fait tout à l'air un peu téléphoné, et est beaucoup mieux amené dans la version finale, plus subtilement en fait.

Mais c'est un vrai trésor pour un fan de pouvoir lire ça, et en VF en plus, merci pour ton travail désintéressé (mais très intéressant !), JohnRoot.

par **Manu R. McFly** » 06 Mai 2004, 09:51

T'as abandonné JohnRoot?

par **JohnRoot** » 07 Mai 2004, 12:58

les partiels approchent. :b12:

pour l instant c'est des exams blancs. cool aussi
j'en ai retraduit un peu à la maison mais pas assez pour le mettre en ligne. j'ai lu la suite en anglais : y a un truc enorme qui explique la méga patate de George kan il cogne Biff! mais chut !

:a13:

par **JohnRoot** » 10 Mai 2004, 08:18

enjoy the snowcone ! (les jackassiens comprendront)

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Marty quitte les lieux, un sourire de satisfaction aux lèvres. Bill n’a que ce qu’il mérite. Il tourne dans une rue résidentielle, l’esprit hagard tandis qu’il pousse sur son skateboard. A peu près dix minutes plus tard, il s’approche de sa future maison et voit Eileen rentrant chez elle…avec George ! Marty fait crisser sa planche, l’empoigne et s’accroupit derrière des buissons pour observer la scène. George portant les livres d’Eileen, l’accompagne jusqu’à la porte. Ils parlent mais Marty ne peut comprendre aucun mot. Au bout d’un moment, George rend ses livres à Eileen et ils se serrent la main de façon très formelle. Il a enfin du lui demander pour aller danser ! Marty soupire, soulagé d’avoir accompli cette mission et pousse sa planche sur la chaussée, s’éloignant du domicile d’Eileen pour rejoindre celui du professeur Brown afin de lui apprendre la bonne nouvelle. Il n’a jamais vu George, après qu’Eileen ait fermé la porte, jeter sa veste dans la rue et s’asseoir au bord du trottoir, la tête entre ses mains, déçu plutôt que jubilant.

Ce soir là, Marty allongé dans son lit, regarde le plafond en réfléchissant. Il finit par sortir la carte de Reginald de la poche de son blouson. Il la regarde un long moment…puis la déchire en petits morceaux. Il se lève du lit et jette les bouts de papiers dans la corbeille. Ensuite il sort la page chiffonnée du livre en descend l’escalier avec en direction de l’étude. Le professeur est assis à son bureau et tourne le dos à la porte, penché sur quelque chose. Il se retourne d’un coup lorsque Marty entre, comme s’il voulait masquer le fait qu’il soit en train d’écouter la cassette une fois de plus, la partie avec le coup de feu. Marty ne remarque rien, trop absorbé par ses problèmes. Il reconnaît qu’il n’appartient pas à cette époque. Il a failli y laisser sa peau encore une fois aujourd’hui et maintenant il aimerait bien rentrer chez lui, dans le futur. Marty tend la page de son livre, montrant du doigt la légende sous la photo. La moue du professeur se transforme en visage radieux ! Où Marty a-t-il trouvé ceci ? Ca vient de son livre de science de 1982. Le professeur regarde de plus près. Le test a lieu ce lundi ! 15 mégatonnes…ils ont besoin de 4200 rads donc Marty devra se trouver dans un rayon de 720 mètres de l’épicentre d’après les calculs d’Emmett. Ce qu’ils prévoient de faire est extrêmement dangereux. Mais selon Marty, traîner autour d’un site nucléaire n’est pas plus dangereux que tout ce qu’il a vécu jusqu’à présent. Le professeur le regarde un moment, puis acquiesce. Il expose ensuite ce qu’il prévoit de faire : se procurer un camion venant d’un surplus militaire, y installer la machine à voyager dans le temps et le convertisseur temporel et conduire jusqu’au Nevada. S’ils partent samedi soir, ils peuvent arriver sur le site juste à temps. Une chambre de plomb ajouterait plus de protection. Le professeur n’a pas confiance en ces bombes atomiques…Le téléphone sonne avant qu’il n’ait finit. Il tend le bras et décroche. C’est Eileen. Emmett lui dit que Marty n’est pas là mais que son message sera transmit. Marty le regarde, son cœur battant d’inquiétude. Emmett raccroche et se tourne vers Marty, le visage grave. Marty sent que quelque chose ne se passe pas comme prévu. Et il a raison. Sa « mère » a été très impressionné par lui cet après-midi et elle lui fait savoir que s’il a envie de danser samedi soir, elle est libre. Mais c’est impossible pourtant ! Il a vu George faire sa demande et repartir de chez elle ! D’après le professeur, elle l’a laissé tomber. Mais pourquoi ferait-elle cela ? Elle est pourtant censée l’épouser ! Apparemment, l’instinct maternel a traversé le temps et ceci a causé une altération du comportement émotionnel d’Eileen. Marty, qui ne comprend qu’à moitié, demande au professeur d’être plus clair. En d’autres termes, il veut savoir s’il a un ticket avec sa mère ! C’est une autre façon de dire, mais oui. A cause de ça, elle n’est plus intéressée par son père. Marty qui n’en croit pas ses oreilles, s’assoit sur une chaise à proximité. Que vont-ils faire ?

Le lendemain, Marty entre dans la brasserie, les yeux dirigés vers Eileen et Madge, assises à la même table que la veille, parlant et aspirant des crèmes glacées encore. Il traverse la salle et s’assoit avec elles, pour le plus grand plaisir d’Eileen. Il lui demande comment elle va. Elle sourit et échange un regard avec son amie. Les mains sous la table, il lui explique que le professeur Brown lui a transmit son message la veille… Il scotche le magnétophone sous la table et presse la touche d’enregistrement. Aucune fille ne semble remarquer quoi que ce soit…et si Eileen est toujours libre, il souhaiterait l’inviter à danser samedi soir. Il peut passer la prendre à 20h30 si elle veut bien. Eileen accepte et Marty se lève pour partir. En quittant la brasserie, il lui fait un chaleureux signe de la main. Il fait semblant de s’éloigner mais en fait s’accroupit derrière un bâtiment à proximité. Quelques minutes plus tard, c’est au tour de Madge et Eileen de sortir. Il atteint qu’elles soient hors de vue avant de foncer dans le café, priant pour que le magnéto ait fonctionné. Plus tard dans la soirée, dans le garage du professeur, Marty repasse la bande. Le professeur Brown a soudé des plaques de plomb dans un grand réfrigérateur Philco. La machine à voyager dans le temps est installée à l’arrière d’un camion militaire. Le professeur a également modifié le haut du réfrigérateur pour maintenir l’unité émettrice du faisceau afin que le faisceau temporel éclaire directement le frigo. Sur la cassette, la conversation entre Eileen et Marty arrive à sa fin. On entend Marty quitter le café. Aussitôt qu’il est sortit, les filles commencent à parler de lui. Pour Eilenn, ce garçon est un rêve ! Madge avoue qu’elle n’a jamais vu Eileen être dans un tel état pour quelqu’un. Eileen soupire de nouveau. C’est vrai, elle n’est jamais tombée sous le charme de qui que ce soit comme cela auparavant. Elle ne comprend pas vraiment mais elle a envie de…de le materner ! Marty et le professeur échangent un regard. La cassette continue. Madge pensait qu’Eileen aurait préféré aller danser avec George. En effet il lui a demandé mais elle a refusé. Pourtant elle l’avait toujours trouvé mignon de par sa timidité. Mais il n’est pas timide, c’est une poule mouillée. Le professeur prend le magnétophone des mains de Marty et repasse la dernière phrase. Eileen répète que George n’est qu’une poule mouillée.

Marty est dans le jardin chez George, samedi au matin. Il l’encourage à lui mettre un coup de poing dans le ventre. Il ne faut pas se dégonfler ! Marty écarte les bras, faisant de lui une cible facile. Derrière lui se tient un sac de couchage rempli de vêtements accroché à un arbre. George ne fait pas le moindre mouvement. Il ne veut pas frapper Marty. Il essaie de le convaincre de frapper, en lui disant qu’il ne lui fera pas mal mais George avoue ne pas être un bagarreur. Marty perd patience. Lui et George savent bien qu’il n’est pas du genre à se battre mais Eileen ne le sait pas elle. C’est pour cela qu’il doit frapper Marty au ventre sinon elle verra qu’il n’est pas bagarreur. Mais George ne s’est jamais battu de sa vie ! Marty lui explique que ce n’est pas se battre mais venir porter secours. Une mise au point s’impose : où sera George à 20:55 ? Il sera en train de danser. Et où sera Marty à ce moment ? Avec elle dans le parking. Marty acquiesce, jusque là, George suit. Vers 21:00, Eileen sera très en colère après Marty. George décroche : pourquoi sera-t-elle en colère après lui ? Marty hésite…Selon lui, les jeunes filles bien élevées se mettent en colère quand des types essaient d’abuser d’elles. George le regarde, incrédule. Ca veut dire que Marty va la… ? Marty lui dit de ne pas se faire de soucis à ce sujet. Il doit juste se souvenir d’être dans le parking à 21:00, ouvrir la porte de la voiture et dire son texte (que George ne manque pas d’oublier sur le coup). Il devra ordonner presto à Marty de virer ses sales pattes d’elle ! Par contre, il n’est pas convaincu de devoir jurer… Putain, mais oui, qu’il jure bon sang ! Et qu’ensuite il frappe Marty au ventre pour qu’après qu’il ai eu son compte, George et Eileen aient une vie pleine de bonheur. A présent, il doit frapper Marty. George prend une profonde respiration et jette timidement son poing dans Marty. Celui-ci secoue la tête. Il doit y mettre de l’émotion. Un peu d’hostilité, un peu de colère. Il réessaie, cette fois en faisant la grimace. Le second coup n’est pas plus fameux que le premier. George doit y mettre de la colère ! Il hésite, proposant d’utiliser plutôt son poing gauche… Marty lui conseille de se concentrer sur la colère et rien d’autre. Le troisième coup est un peu mieux, mais ne correspond toujours pas à ce que Marty attendait. Il soupire. George commence à trouver la voie. Il doit encore s’entraîner. Les deux garçons se reverront le soir. En partant, il rappelle à George de ne penser qu’à la colère. George regarde le sac de couchage, essayant de penser à quelque chose de vraiment énervant. Il murmure le mot colère plusieurs fois, sentant ses frappes devenir de plus en plus fortes. George sourit, il a finalement trouvé le coup ! Il recule son poing, se préparant à démolir le sac. Malheureusement il juge mal la distance et frappe le tronc de l’arbre ! Il pousse un cri de souffrance et jure. Avec son poing gauche, George frappe le sac avec tout ce qu’il a…et l’arrache à l’arbre ! Il le regarde un moment, en état de choc.

par **Manu R. McFly** » 10 Mai 2004, 09:05

par **Manu R. McFly** » 12 Juin 2004, 17:28

Plus de nouvelles de JohnRoot.... on ne saura jamais la fin faut croire... :d03:

par **linklesuperguerrier** » 13 Juin 2004, 12:31

un remarque pour les deux
j'ai pas tout lu mais j'ai deja remarquer que vous vous repétiez souvent

Marty fait ca
Marty ca ca

il faudrais mettre Marty a fait ca et il a aussi fait ca ....

etc ...

par **Pastounet** » 16 Mai 2015, 12:34

Quelqu'un a remarqué que JohnRoot a supprimé tous ses messages, et donc toutes ses traductions ? :(

par **Manu R. McFly** » 16 Mai 2015, 13:04

Très étrange en effet ! :d04:

par **Jon 16VT** » 16 Mai 2015, 13:21

Dommage, j'aurais bien voulu y lire.
J'ai lu la première partie de Pastounet, d'ailleurs merci pour ton travail.
Comme il a été dit plus haut : il faudrait rassembler toutes les idées des scripts alternatifs et en faire un film.
Ca ferait une sorte de remake alternatif avec des idées d'origines, mais faudrait le faire avec ambiance et décors des années 80, ça ne passerait plus si ça se passait à l'heure actuelle.

Le peut que j'ai lu, me donne l'impression d'un film complètement différent, et au final la meilleure idée reste la Delorean...
Par contre je sais pas si c'est pas parce que je suis habitué au film final, mais j'ai l'impression que avec ce script d'origine, le film est plus similaire au nombreux film de science fiction des années 80, alors que le film tel qu'on le connait est largement au dessus.

PS je me souviens d'un script avec Doc se prenant une bouteille dans la tete, ce qu'il lui donne l'idée du voyage temporel.

par **ZeKE** » 19 Mai 2015, 10:36

Je n'avais jamais fait attention à ce sujet !! Je viens de lire le début et ça me donne envie de lire la suite !!!
Mais donc il manque des parties que JohnRoot avait fait ? Peut être sur archive.org ?

par **Manu R. McFly** » 19 Mai 2015, 11:22

Jon 16VT a écrit:Dommage, j'aurais bien voulu y lire.

Eh bien fais toi plaisir, je viens de remettre tous ses messages de ce sujet !! :a38:

(J'ai plus d'un tour dans mon sac...!)

par **Jon 16VT** » 19 Mai 2015, 11:55

Manu R. McFly a écrit:
Jon 16VT a écrit:Dommage, j'aurais bien voulu y lire.

Eh bien fais toi plaisir, je viens de remettre tous ses messages de ce sujet !! (J'ai plus d'un tour dans mon sac...!)

Super! merci Manu!
Bonn bah je sais à quoi ma soirée va etre occupée! :mrgreen: