52 raisons qui font de retour vers le futur le meilleur film

[raffy]

je ne sais pas si vous avez vu ça.
c'est en anglais !

http://www.obsessedwithfilm.com/special ... l-time.php

[strickwood]

J'aime beaucoup la 23

[Mc P. Manu]

Héhé nice! Énorme, franchement énorme! Écrit par un fan, c'est obligé!

[Stéphanie]

Ma préfèrée c'est la 48 !

[qwerty]

Il a pas moyen de les avoir en francais ?

[strickwood]

Héhé nice! Énorme, franchement énorme! Écrit par un fan, c'est obligé!

Et en groupe de fans que nous sommes aussi, nous pourrions facilement agrandir cette liste

[Pastounet]

Ouah ! Il a dû passer un bon bout de temps à rédiger tout ça, et avec plein d'images en plus. Superbe travail.

[CyrilusOne]

Très bon, très bon
Entre parenthèse, c'est sympa de voir l'affiche du film en plan très large. (voir trois lampadaires à droites, et la fin de la ligne de feu à gauche)
Vive Retour vers le futur !

[MartinMcFly]

Lien en peau de mouton, ça le fait qu'à moi ?

[qwerty]

c'est a dire ?

[Mc P. Manu]

Ça doit vouloir dire: lien foireux... Le serveur était peut être down au moment ou t'as essayé!
Je viens d'essayer à nouveau et ça fonctionne parfaitement!

[MartinMcFly]

Nop, toujours erreur.

Pas grave j'essaierais plus tard.

[Gatien]

Pour ma part, le lien fonctionne sans souci

J'aime beaucoup la 23

Effectivement, pas mal, cette raison !

[Mc P. Manu]

J'ai lu toutes les raisons avec un grand plaisir!

[renwar]

Il a pas moyen de les avoir en français ?

À la demande générale... de qwerty... et parce que je ne suis pas plus anglophone que ça et que moi aussi ça me gave un peu dès qu'on balance un lien en anglais... Et comme là ça m'intéressait vraiment de savoir, bah j'ai fait l'effort de traduire !

Je vous prie donc d'excuser le côté "rudimentaire" de cette traduction... Et si certains veulent apporter des corrections qu'ils jugeraient indispensables, n'hésitez pas à le faire en mp et je modifierai ça.

*****



Les articles de mes collègues fans d'autres films étaient brillants, leurs raisons plus que valables, mais Ghostbusters ? Gremlins ? Aucun de ces classiques ne peut être le plus grand film de tout les temps, parce que chacun sait que le plus grand film de tout les temps est…

RETOUR VERS LE FUTUR !

Alors démarrez la DeLorean, branchez les circuits temporels... convecteur temporel... temporisé... et comme je suis toujours prêt à relever un défi, je vais essayer de faire mieux que mes estimés collègues, et vous présenter tout cela en 52 raisons (sans ordre particulier).

1. La scène d'ouverture

La scène d'ouverture de Retour vers le futur est tout simplement parfaite.

Elle met impeccablement en place les thèmes centraux du film, de temps et d'espace, fournit avec les horloges qui passent à l'écran toute une imagerie du temps qui court tout au long du film ; cela présage également des événements ultérieurs, tout cela dans un simple travelling ; mais plus important encore : elle capte votre attention immédiatement.

Chaque fois que je regarde Retour vers le futur, je remarque quelque chose de nouveau dans cette scène d'ouverture. La dernière fois, j'ai remarqué qu'une des innombrables horloges de Doc a un petit scientifique qui ressemble énormément à Doc Emmett L. Brown lui-même s'accrochant d'une main, présageant cette scène captivante plus tard dans le film (plus de détails sur ce point plus tard).



2. La voiture de film la plus cool qu'on ait jamais vu

"Vous avez fabriqué une machine à voyager dans le temps… à partir d'une DeLorean ?"



J'ai entendu tous les arguments concernant d'autres voitures "en plastique" mais rien ne se rapproche de la DeLorean modifiée par Doc - c'est une machine à voyager dans le temps qui a vraiment de la gueule !

3. Crispin Glover



Cet homme, qui est la définition même d'"acteur culte", a obtenu sa grande chance avec Retour vers le futur et a continué à se construire une carrière éclectique couplée avec moult excentricités en hors champ.

Glover est brillant en tant que George McFly, si bien qu'avec le personnage culte qu'il est devenu, c'est une honte que Retour vers le futur n'ait pas été le début d'une carrière plus réussie pour cet acteur charismatique.

4. Johnny B. Goode

"C'est-à-dire... Là d'où je viens, c'est un vieux rock bien rétro"

http://www.youtube.com/watch?v=qEeF9r_8 ... re=related

L'une des scènes les plus inoubliables de Retour vers le futur est la performance de Marty lors de sa reprise du légendaire Johnny B. Goode de Chuck Berry, complète, avec ce solo de guitare de dingue qui lui déforme les traits, et où il joue en s'inspirant de certains des plus grands guitaristes de l'histoire.

Comme Marty regarde la foule choquée après ses cabrioles et ses moulinets, il se rend compte qu'il a "perdu" les jeunes des années 50, et plaisante : "Je crois que vous n'êtes pas encore prêts pour ce genre de choses… par contre vos gosses vont adorer ça".

5. La référence à Chuck Berry

"C'est Marvin. Oui, ton cousin Marvin Berry"

À mi-chemin de la performance mentionnée ci-dessus de Johnny B. Goode, avant la série de "taping" frénétique de Marty, le leader de l'orchestre jouant à la Féerie dansante des sirènes, Marvin, du groupe Marvin Berry et les Starlighters, sort sur le côté de la scène et passe un appel téléphonique.

Hurlant sur la musique à son cousin Chuck, il dit "y a quelques temps tu m'as dit que tu cherchais un son nouveau ? Bon, alors écoute ça !" et tient le téléphone pour faire entendre Johnny B. Goode, suggérant ainsi que Marty soit responsable d'avoir donné l'inspiration à Chuck Berry pour Johnny B. Goode, et ainsi en faire un pionnier du rock n' roll.

Cette scène est typique de l'alternance temporelle intelligente des références de culture populaire qui pimente toute la trilogie Retour vers le futur.

6. Biff's question song

Retour vers le futur a sans aucun doute été le plus grand moment de Thomas F. Wilson, malheureusement il n'a jamais vraiment mesuré les promesses de succès suivant celui du film de Robert Zemeckis.

Peut-être était-ce une bénédiction déguisée, parce que si Wilson était vraiment devenu la grande star qu'il aurait mérité d'être, nous n'aurions jamais eu l'occasion de connaitre ses stand-up qui ont fait sa renommée, et dont l'un d'eux inclut cette brillante chansonnette parlant de l'homme lui-même et ses expériences depuis le film :

http://www.youtube.com/watch?v=iwY5o2fsG7Y

7. Les suites

Les parties II et III ne sont peut-être pas être aussi bonnes que l'original, mais ensemble, les trois films forment une des, si ce n'est LA trilogie la plus géniale de l'histoire de cinéma.



Chaque film enrichit l'univers de Retour vers le futur et contribue à développer nos héros. Les suites ne sont pas juste les pneus rechapés de l'original ; ils ne se limitent pas à rejouer sans cesse les mêmes notes ; au contraire, ils constituent, chacun à lui seul, de très belles réalisations.

L'intrigue de la Partie II est en fait si compliquée que vous risquez d'avoir mal au crâne si vous arrêtez vraiment et pensez ce qui se passe exactement... Les parties II et III étendent aussi la mythologie de tout cet univers, et abordent plus profondément les questions éthiques et morales nées du premier film aussi bien que les thèmes universels de fatalité et de destin.

8. Ils ont eu les couilles de re-caster Marty McFly

Retour vers le futur aurait-il eu un aussi grand succès avec Eric Stoltz dans le rôle de Marty McFly plutôt que Michael J. Fox ?

Nous ne le saurons jamais, c'est certain, mais je m'aventurerais : non.



Ce n'est en aucune façon une attaque par rapport au jeu d'acteur de Stoltz, mais il est impossible à présent de l'imaginer dans le rôle. Le fait que Zemeckis et Gale aient eu les couilles re-caster et re-shooter après que la production eut commencé était très courageux et périlleux, mais ça a payé.

L'attrait indéniable de Retour vers le futur repose notamment sur le charme naturel de Michael J. Fox, et sans lui ce merveilleux film n'aurait jamais eu le succès universel qu'on lui connait.

9. Comme ils se sont éclatés à jouer avec le temps

L'univers de Retour vers le futur est une tapisserie si riche et on prend un plaisir infini à se faire avoir avec les renversements de rôle, les parents de nos héros, et l'effet du voyage à travers le temps sur chaque zone temporelle.

Par exemple, Red Thomas est le Maire en 1955 et un clochard ivrogne en 1985, à l'inverse Goldie Wilson est un garçon de café avec de grands rêves en 1955 et le maire en 1985 (il a eu l'idée de devenir maire grâce à Marty en 1955).



L'effet produit par Marty entrant en collision avec le pin une fois en 1955 se ressent aussi à son retour en 1985 - le centre commercial où Doc est tué est à l'origine nommé le Centre commercial de la Promenade des deux pins mais nous voyons plus tard qu'il a contribué par ce petit accident à nommer le Centre commercial le Centre commercial de la Promenade du pin solitaire.

10. Un des meilleurs scénarios jamais écrits

Le scénario de Retour vers le futur est absolument sans défaut.



Rien n'est gaspillé, aucune scène n'est inutile, aucun dialogue n'est étrange et tout contribue à renforcer cette histoire brillante et l'expansion de l'univers de Hill Valley.

Je crois honnêtement que ce film devrait être le modèle pour des auteurs en devenir cherchant à apprendre comment écrire un court mais néanmoins parfait scénario.

11. La musique

Ce sera probablement un des arguments en faveur de chaque film présenté dans une de ces listes, étant donné que les gens associent la musique des films avec les souvenirs d'enfance.

La musique d'Alan Silvestri doit faire partie des plus grandes de tous les temps - j'ai entendu la musique de Retour vers le futur utilisée des douzaines de fois (en dehors du film) simplement dans des séquences montrant à quel point elle est entrainante.

http://www.youtube.com/watch?v=Gt0WzNiLR0Q

Je défie quiconque de ne pas avoir la chair de poule en entendant la musique majestueuse de Silvestri ; et même si, comme moi, vous avez vu ce film un nombre incalculable de fois et que vous le connaissez sur le bout des doigts... avec cette musique, on ne peut pas s'empêcher de se dire que peut-être Doc n'arrivera pas à reconnecter ce câble à temps, ou encore peut-être Marty ne parviendra pas à se débarrasser des Libyens cette fois-ci.

12. Un président des États-Unis y a fait référence

D'accord c'était Reagan, mais quand même.

Oui, c'est ça, lors d'un discours en 1986 le Président Ronald Reagan (dont il est fait allusion dans le film lui-même) a dit ceci : "Comme ils ont dit dans le film Retour vers le futur, "Là où l'on va, on n'a pas besoin de route"".

http://www.youtube.com/watch?v=mo0p3Aem3X4

George W. Bush a également fait référence plus tard à son film favori, Air Bud, dans un de ses discours.

13. La performance d'une vie de Michael J. Fox

Michael J. Fox est un excellent acteur et les gens ont tendance à l'oublier - voyez sa performance dans l'injustement méconnu Frighteners de Peter Jackson, ou sa récente nomination aux Emmy pour l'excellent Rescue me si vous avez encore besoin d'une preuve qu'il peut vraiment jouer, plus que de jouer de son charme.

Et tandis que ce rôle de Marty McFly n'a pas exigé qu'il joue trop de ses muscles, c'est sans aucun doute cette performance que l'on retiendra toujours de lui, et à juste titre.



Quand ils ont fait Retour vers le futur, Fox tournait pratiquement 24h/24 - avec Family Ties pendant la journée puis Retour vers le futur pendant la nuit. Malgré cela, le charme et le charisme émanent naturellement de lui, et il étincelle à l'écran comme on peut rarement le voir.

14. La fin énigmatique

Rien ne me frustre plus que quand un film se termine manifestement sur l'idée d'une suite possible.

À l'origine, quand Retour vers le futur est sorti, la fin n'appelait pas vraiment une suite. De fait, s'ils avaient eu l'idée d'une suite, la fin aurait sans aucun doute été quelque peu différente. Avoir Jennifer dans la voiture à la fin du film a été vraiment problématique pour les auteurs avec cette Partie II, particulièrement lorsque Claudia Wells n'a pas pu rempiler.

La fin avait juste pour but de montrer les possibilités infinies qu'avaient Doc et Marty maintenant avec leur machine à voyager dans le temps, et n'impliquait pas de Partie II. Ainsi quand la décision de faire des suites a été prise, le To be continued… a été ajouté au film original.

Quand on voit les flashes à la fin du film, il est presque impossible de pas vouloir mettre la Partie II dans le lecteur DVD, et bien que cela n'ait pas été prévu à l'origine, la fin de Retour vers le futur est devenue un excellent teaser de ce qui allait suivre.

15. Le parc à thème

J'ai eu la chance d'aller deux ou trois fois au parc à thème Retour vers le futur à Universal Studios avant qu'il n'ait criminellement été remplacé par Les Simpson... Et à mon grand regret, je n'y suis seulement allé qu'une fois depuis que je suis devenu un "méga-geek" de Retour vers le futur. Inutile de dire que j'ai apprécié chaque minuscule détail lors de cette dernière fois.

Comme pour toutes les attractions de parcs à thème aux USA, le souci du détail y est impressionnant, notamment ici en ce qui concerne les représentations de Christopher Lloyd et Tom Wilson.



Le parc à thème, ses attractions et tout ce qui restitue l'univers de Retour vers le futur est vraiment considéré comme canon par certains, et la série animée qui est apparue dans les années 90 s'en est servie comme un pont entre les films et elle-même.

Disparu mais certainement pas oublié, le parc à thème Retour vers le futur a été orgasmique pour tous les geeks de Retour vers le futur du monde.

16.

"Si mes calculs sont exacts, quand ce petit bolide atteindra 88mph, attends-toi à voir quelque chose qui décoiffe."

La première scène dans laquelle nous voyons le voyage dans le temps de la DeLorean n'est pas juste emblématique par rapport au génie de Doc. Tout dans cette scène est reconnaissable et définit le film, des traces de pneu enflammées à la plaque d'immatriculation la plus géniale de l'histoire du cinéma : 'OUTTATIME' qui tournoie, c'est une des scènes les plus cool et reconnaissable du film.

17. Einstein

Le chien le plus méconnu du cinéma.

L'animal de compagnie souffre-douleur de Doc devient le premier voyageur temporel au monde, et si cela ne fait pas de lui le plus grand chien de film, alors je ne comprends plus rien.



Il est incroyablement adorable dans son petit ciré jaune, on le suit dans ses escapades temporelles. "Einy" essaie même d'alerter son maître inconscient de la présence des terroristes libyens quelque peu furieux. Malheureusement trop tard, mais au moins il a essayé !

Einstein, comme la plupart des personnages du film, a même son propre homologue de 1955 en la "personne" du chien de Doc (le prédécesseur probable d'Einstein) Copernic.

18. Il a gagné un OSCAR

Ok, c'était pour le son, mais quand même.

19. Détournements et parodies

L'importance culturelle de Retour vers le futur même aujourd'hui est évidente étant donné le nombre de références que l'on trouve dans la culture populaire, et le nombre de détournements et de parodies autour du film. Certains d'entre eux sont mauvais, mais la majorité de ceux que j'ai pu voir est faite avec tendresse et est très drôle. Perso, mon préféré est celui de Family Guy, aujourd'hui introuvable...

20. Le film a un beau message

“Quand on veut très fort quelque chose, on finit toujours par y arriver”

Ce gimmick inspiré de Doc est un message d'espoir marquant.

21. Doc Brown se balançant de l'horloge de l'hôtel de ville

La scène de l'orage en 1955 avec Doc se balançant sur l'horloge de l'hôtel de ville de Hill Valley, les secondes avant qu'elle soit frappée par la foudre ne manquent jamais de vous laisser une grimace stupide sur le visage.

http://www.youtube.com/watch?v=N6_6HkumQWo

Peu importe combien de fois vous le regardez, il y a toujours ce moment de doute que peut-être ce bon Doc ne raccordera pas les câbles à temps pour injecter la foudre dans la DeLorean afin de renvoyer Marty “vers le futur” mais finalement il y arrive toujours, et tout va bien... à nouveau.

C'est une scène brillante qui met toujours sous pression.


22.

“Je suis désolé, c'est assourdissant”

Huey Lewis a un petit rôle !



J'ai besoin d'en dire plus ? Je me me fiche de ce que peuvent dire les gens, Huey Lewis and the News est un grand groupe (j'en dirai plus là-dessus plus tard), et donc il joue ce petit rôle de juge guindé dans les auditions de groupes, et prononce ironiquement les quelques mots ci-dessus alors que Marty joue comme une bête une des propres chansons de Lewis à la guitare.

23. Ce film a été fait dans les années 80

Soyons honnêtes, tous les meilleurs trucs ont été faits dans les années 80 !

24. L'hôtel de ville de Hill Valley et son horloge

Voilà bien un repère de film immédiatement reconnaissable, même s'il a été utilisé dans beaucoup d'autres productions télévisuelles et cinématographiques, ça restera toujours Hill Valley.



Voyez l'importance de ce petit carré pittoresque qu'est la place de l'hôtel de ville – centre de l'intrigue de Retour vers le futur ; l'horloge apparait également dans les deux suites, ou encore dans l'attraction du parc à thème.

Un repère cinématographique classique.

25. M. Strickland

“C'est à croire que ce type a toujours été chauve !”

M. Strickland ou un de ses parents apparait dans chaque opus de Retour vers le futur, mais c'est le premier film où il est à son top niveau. Strickland est sans aucun doute l'un des plus grands hommes autoritaires et résolus de l'histoire du cinéma, Napoléonien, intraitable.



Joué par l'excellent James Tolkan, Strickland a une haine réelle et irrationnelle pour tout ce qui touche aux McFly et croit que Marty et son père George sont des "tocards". Le petit gag selon lequel il a presque exactement la même tronche en 1955 et 1985 est une autre des sympathiques petites touches d'humour de Retour vers le futur.

26. The Power of Love

J'ai déjà abordé le petit rôle de Huey Lewis dans le film, mais Retour vers le futur peut aussi se targuer d'avoir une des chansons de film les plus emblématiques des années 80 avec The Power of Love.

http://www.youtube.com/watch?v=wFaXTcR4dtE

Les gens négligent souvent le fait que Huey Lewis and The News a aussi enregistré Back in time pour Retour vers le futur, une grande chanson bien à propos, lors des crédits du générique de fin, et dont les paroles sont truffées de références au film.

http://www.youtube.com/watch?v=PgyvMp5YWcI

The power of love, bien qu'étant une chanson universellement populaire, a été nommée aux OSCAR et est encore aujourd'hui un tube incontournable en soirée. Un grand classique de la chanson des années 80 dans un grand classique des films des années 80, que voulez-vous de plus ?

27.

“Tu fais comme dans l'infanterie… tu te tires [casses] ailleurs”

Le penchant de Biff pour les chutes d'adages censées être spirituelles ne manque jamais de faire marrer.

28. Ça tient encore debout de nos jours

Comme c'est le cas pour tous les grands films, Retour vers le futur a résisté à l'épreuve du, hum... du temps.

25 ans après, le film tient encore la route aujourd'hui, il est toujours aussi drôle et frais, que ce soit la première fois que vous le voyiez ou la centième.

Son inaltérable longévité est vraiment un témoignage de l'implication de tous dans ce film, et cela restera sans doute, dans l'histoire du cinéma et pour les années à venir, un des films qui amène à d'affectueux souvenir.

29.

“Les Libyens !”

Ils sont probablement les mauvais gars de film les plus terriblement stéréotypés et cela peut paraitre ouvertement raciste, mais leur incompétence et la façon dont ils se font voler le plutonium dont Doc a besoin pour la DeLorean est juste très drôle.

De même, personnellement, je trouve très drôle l'ambigüité totale de Doc par rapport au sérieux dans le tour qu'il joue aux terroristes : “Je leur ai refilé un joli boitier de bombe rempli de vieilles pièces de flipper !” Et vous ne pouvez pas vous empêcher de sourire quand ils récoltent ce qu'ils méritent lorsque Marty et la DeLorean disparaissent, laissant les Libyens sans réaction s'encastrer inexorablement dans un kiosque idéalement placé sur le parking du centre commercial.

Prenez ça, terroristes !

30. Les gimmicks

Prenez le “Nom de Zeus !” de Doc ou le “Tu veux ma photo, banane ?” de Biff ; on peut citer les gimmicks de Retour vers le futur à l'infini, et ils vivront éternellement grâce à ce film.

31. La Scène du skateboard

“Merde !!!!!!!!!!!!!!!”

Bien que “Je déteste le fumier” soit devenu un gimmick Tannen au cours de la trilogie, la phrase de Biff après s'être encastré dans le camion de fumier la première fois était plutôt “Je vais le tuer ce petit fumier”, en prévision de la juste punition qu'il espérait infliger à son ennemi juré : Marty.



La scène de la poursuite en skateboard en 1955 est une des scènes les plus connues de Retour vers le futur, et la culture populaire y a énormément fait référence au cours du temps, comme par exemple récemment celle-ci, plutôt bizarre, qui a vu Andrei Arshavin d'Arsenal représenté comme Marty et Gerrard, Carragher et Al de Liverpool représentés comme Biff et son gang !

http://www.youtube.com/watch?v=rrw4IlKRPmc&

Tout dans cette scène est parfait, de Marty présentant involontairement le skateboard aux gosses des années 50, en passant par la tension, et finalement la comédie avec Biff encastrant sa belle voiture dans un camion de fumier.

32. Le vieux logo de Universal Studios



Le logo de 1963 à 1990 de Universal Studios est peut-être le plus cool et le plus emblématique logo dans l'histoire de la production de film. Pensez juste à tous les films incroyables de cette époque qui ont été précédés par ce célèbre globe.

J'ai développé une sorte d'affinité avec ce logo particulier, et c'est certainement dû au fait que c'est la première image que l'on voit lorsque l'on regarde Retour vers le futur – et dès que ce globe disparaît en fondu, vous savez que vous êtes partis pour une heure et cinquante-six minutes de pur plaisir, toujours renouvelé.

33.

“… Ton texte, George” – Marty

“Hé connard, tire tes sales paluches de là où je me fâche… Vraiment... tu crois que je dois jurer ?” – George

“Mais oui, absolument George, putain, jure !”. – Marty

Ce dialogue est l'un de mes préférés du film, et ce passage montre tout à fait la relation très étrange entre Marty et George en 1955, avec Marty comme mentor de son propre père.

34.



“… Alors dites-moi, visiteur du futur... qui est président des États-Unis en 1985 ?” – Doc

“Ronald Reagan” – Marty

“Ronald Reagan !? L'acteur !? et qui est vice-président ? Jerry Lewis ? Vous allez sans doute me dire que Bette Davis est la Première Dame du pays, et John Wayne ministre de la Défense pendant que vous y êtes !” – Doc

35. Le maquette "rudimentaire" de Hill Valley de Doc

“Ne fais pas attention à l'aspect rudimentaire de cette maquette, je n'ai pas eu le temps de la faire à l'échelle ni de la peindre”.



Les excellentes maquettes de Hill Valley de Doc et son mécontentement disproportionné nous donnent un bon aperçu de son esprit brillant, et du fait qu'il est lui-même son pire critique.

Ce qui est très drôle aussi, c'est que le modèle réduit de la tentative de Marty de retourner vers le futur se termine dans les flammes.

36. Billy Zane et les sbires de Biff

Retour vers le futur n'est pas seulement le rôle de la vie de Michael J. Fox, c'est aussi le cas pour Billy Zane.

“Billy Zane ?” Je vous entends dire : “Il n'était pas dans Retour vers le futur”.

Comme sbire de Biff, Billy Zane a montré plus de charisme et de personnalité, sans même prononcer un mot, qu'il n'en a montré dans n'importe quel film depuis.



Les sbires de Biff sont la définition même des flatteurs soumis, et leur incapacité totale à réaliser avec succès les ordres de leur chef les amène sans cesse à abandonner, et à chaque fois de façon humiliante.

37.

“Hier soir, Dark Vador est venu sur Terre de la planète Vulcain, et il m'a dit que si je n'invitais pas Lorraine, il ferait fondre ma cervelle” – George

“Oui écoute, il vaut mieux que cette histoire de cervelle fondue reste un secret entre nous, d'accord ?” – Marty

38. La scène du dîner

“C'est qui ça celui-là, John Kennedy ?”

La scène du dîner où Marty est un peu contraint à manger avec ses futurs grands-parents, mère, tantes et oncles est un summum de situation inconfortable.

Avec Marty désireux de se tenir à l'écart des avances amoureuses de sa propre mère, il crée des tensions avec ses futurs grands-parents, notamment avec des commentaires qu'ils ne comprennent pas – le fait d'avoir plus d'un téléviseur, les rediffusions, et évidemment le fait que la rue Riverside soit devenue la rue John Kennedy.

Lorraine saisissant sa jambe sous la table est la goutte d'eau pour Marty qui fait ses excuses et part rapidement, ce qui amène Sam à ce brillant et plutôt ironique commentaire :

“J'te préviens Lorraine, si un jour t'as un gosse qui se conduit comme ça, t'es plus ma fille”


39. La série animée

Un autre dérivé de Retour vers le futur, c'est la série animée, qui a connu deux saisons sur CBS entre 1991 et 1992, et qui a développé un peu plus encore l'univers de Retour vers le futur, quoique certains fans contestent l'univers de cette série animée.



Seule Mary Steenburgen (Clara dans la partie III) et Tom Wilson ont doublé les versions animées de leurs personnages mais Christopher Lloyd est vraiment physiquement apparu dans certaines séquences. Bizarrement, le Doc animé a été doublé par Homer Simpson lui-même, Dan Castellaneta.

Bien que malheureusement indisponible en DVD à ce jour, la série animée Retour vers le futur est le type de "produit" qui a réussi l'exploit de devenir culte, en ce sens qu'elle est appréciée des enfants, mais sans doute aussi des adultes qui ont grandi avec Retour vers le futur.

Comparées aux dessins animés et autres émissions d'aujourd'hui qui prennent les gosses pour des crétins, les séquences scientifiques de cette série animée sont à des années-lumière devant, du point de vue du divertissement comme de la valeur éducative.

40. Ne pas ‘détruire le réfrigérateur à l'arme atomique’

Un premier brouillon du scénario de Retour vers le futur a vu Marty voyager dans le temps à bord d'un réfrigérateur pris dans une explosion de bombe nucléaire.

Quelques années plus tard, Steven Spielberg aura de nouveau l'idée de détruire à l'arme atomique un réfrigérateur, seulement cette fois il l'a vraiment fait à l'écran, dans Indiana Jones et le Royaume du Crâne Cristal, où Indy échappe à un souffle nucléaire en se cachant à l'intérieur d'un réfrigérateur.



Pour Retour vers le futur cependant, quand est née l'inquiétude d'imaginer des gosses essayer d'imiter le truc et être piégés à l'intérieur des réfrigérateurs, la machine à voyager dans le temps a été, Dieu merci, finalement changée en DeLorean, à présent mythique.

Fort heureusement, Retour vers le futur a évité le pire, sans quoi le film n'aurait pas eu l'impact qu'on lui connait.

41. Le jeu vidéo

D'après les standards d'aujourd'hui, le jeu Retour vers le futur est à peu près le truc le plus bancale que vous puissiez voir.



Même à sa sortie en 1989 ce n'était pas exactement du grand art ; certains le comparant même à Paperboy (soit dit en passant, j'étais un vrai crack à ce jeu) mais il y a quelque chose de bizarrement excitant dans l'idée de contrôler Marty McFly pour vaincre les sbires de Biff dans le bar, et éviter les baisers (sous forme de cœurs volants) de Lorraine (je vous assure !).

Ringard ? Oui. Mais ne me dites pas que vous ne voudriez pas essayer.

42. Claudia Wells

Un film des années 80 à succès ne serait pas un film des années 80 à succès sans une actrice merveilleuse à succès unique. Bien qu'aucun des jeunes acteurs de Retour vers le futur n'ait jamais tout à fait atteint dans la suite de leurs carrières les plus hautes cimes, pourtant méritées avec ce film, aucun d'eux ne s'est évaporé comme Claudia Wells.



Elle a stoppé sa carrière pour raison de maladie après le premier film, et a été remplacée par Elizabeth Shue pour les suites (par nécessité plus qu'autre chose, puisque le premier film avait fini avec Jennifer dans la DeLorean avec Doc et Marty).

Claudia Wells a eu quelques seconds rôles mineurs ces dernières années, mais maintenant elle dirige un magasin de vêtements pour hommes. C'est une véritable honte de n'avoir pas pu voir plus d'elle vraiment ; elle a fait une grande prestation avec ce petit rôle dans Retour vers le futur, et a été une bien meilleure Jennifer qu'Elizabeth Shue, à mon avis.

Elle reste la grande chouchoute, elle a beaucoup de fans, et si Retour vers le futur représente son quart d'heure de gloire... alors quel quart d'heure !

43. Oncle Joey

“Faudra mieux t'habituer à ces barreaux, tonton.”

L'oncle Joey est le frère prisonnier de Lorraine, qui manque sa liberté conditionnelle (encore une fois) dans la chronologie originale de 1985, passant du même coup à côté de l'occasion de manger le gâteau.

Quand Marty rencontre ses futurs grands-parents en 1955, il découvre Joey dans son parc, vêtu d'un t-shirt rayé noir et blanc, annonçant la tenue de prisonnier qu'il portera une grande partie de sa vie. Stella (la grand-mère de Marty) va même jusqu'à faire la remarque que Joey “pique des colères dès qu'on veut le faire sortir” (de son parc).



C'est un autre excellent exemple d'interaction temporelle et de la façon dont on peut s'en amuser par la narration ; c'est aussi un super petit gag destiné à ceux qui ont bien suivi le début du film – Retour vers le futur est rempli de gags comme ça, et il faut vraiment le regarder plusieurs fois pour tilter sur toutes les plaisanteries et références.

44. Les DVD

Après une attente insoutenable, la sortie du coffret DVD de Retour vers le futur a enfin eu lieu en 2002, de belle manière, avec toute une palette de suppléments et de bonus.

Il semble malgré tout que l'attente de ce coffret DVD n'était pas assez longue pour avoir tous les suppléments, si bien qu'il a finalement fallu attendre encore l'édition Ultime, avec un magnifique 4e disque de bonus – inutile de dire que je les ai tous les deux.



Ces coffrets DVD sont tous les deux vraiment fantastiques et donnent aux fans une multitude de bonus et de suppléments dignes du plus grand film de tous les temps.

45. L'affiche

Tout le monde reconnaît l'affiche de Retour vers le futur, avec cette image mythique de Marty avec un pied dans la DeLorean consultant sa montre.



L'affiche a été copiée pour les Parties II & III avec Doc pour le II,



et ensuite Doc et Clara pour le III. Marty reste le personnage récurrent, mais on retiendra toujours cette première affiche.



Elle est simple et efficace, tout comme le film lui-même ; elle vous dit à peu près tout ce que vous avez besoin de savoir du film, et elle est très cool, aujourd'hui encore.

L'affiche de Retour vers le futur reste une des plus grandes affiches de tout les temps, et je ne dis pas seulement cela parce que je suis fan (enfin, peut-être un peu quand même).


46. Doc Brown



Doc Emmett L. Brown fait incontestablement partie de ces personnages de film qu'on aime le plus – je l'ai déjà dit auparavant, mais qui n'a jamais un jour imité son phrasé, ou encore sa démarche et sa gestuelle improbables ? Soyez honnêtes…

Christopher Lloyd nous a offert la plupart de ses meilleures performances en jouant des excentriques, mais jamais personne n'a été un excentrique aussi génial que Doc – Les cheveux à la Einstein, l'incroyable maniérisme de sa gestuelle, et évidemment la liste sans fin de ses inventions ratées.

Pourtant au-delà de son dévouement à la science, Doc avait une amitié touchante avec Marty ; et même s'il n'avait pas toujours la tête dans le bon sens (voler des terroristes...), son cœur l'a toujours été.

Et ne l'oublions pas, c'est l'homme qui a inventé la DeLorean capable de voyager dans le temps !

47. Le Mémo de Spielberg

Le boss d'Universal à l'époque, Sid Sheinberg, a fait beaucoup de changements dans le scénario de Retour vers le futur, certains étaient bons et ont été intégrés dans le scénario, mais il avait aussi quelques idées assez consternantes.

L'une d'elle était de changer le titre, car il croyait que personne n'irait voir un film avec le mot 'futur' dedans. Dans un mémo à Robert Zemeckis, Sheinberg a décrété que le titre devait être changé en ‘Spaceman from Pluto’ (‘L'astronaute de Pluton’), pour être raccord avec le gag du film de Marty-alien (Le fils du vieux Peabody conclut que Marty est un alien après avoir lu une bande dessinée intitulée ‘Space Zombies from Pluto’ (‘Les Zombis de l'espace de Pluton’)).

Heureusement Steven Spielberg est intervenu et a répondu personnellement à Sheinberg dans un mémo le remerciant de son “mémo impayable”, en lui disant que ça avait bien fait rire tout le monde ; Sheinberg, manifestement trop fier pour admettre il avait été sérieux, a alors prétendu avoir consenti à ce que le titre reste ce qu'il était.

48.

“Mon nom est Dark Vador, je suis un extraterrestre de la planète Vulcain” – Marty


49. Biff

“Tu veux ma photo, banane ?”

J'ai déjà chanté les louanges de Tom Wilson l'acteur, mais je serais négligent si je n'abordais pas la contribution du personnage de Biff à la grandeur de Retour vers le futur.



Biff est vraiment l'un de ces vilains cinématographiques qui ont fait école et que vous adorez détester, parce qu'aussi horrible qu'il est, et malgré tout le mal qu'il cause à nos héros... sans aller jusqu'à vouloir l'aider, vous aimez vous coltiner ce grand dadet.

C'est un adulte sympathiquement odieux en 1985 (dans la chronologie originale) tout comme adolescent en 1955, et même quand il est ce lèche-bottes pleurnichard dans le nouveau 1985, il reste ennuyeusement géant.

Sans grands vilains, vous ne pouvez pas avoir de grands héros et c'est définitivement vrai dans Retour vers le futur.

50. Robert Zemeckis

Robert Zemeckis s'est impliqué dans certains des films les plus mémorables et révolutionnaires de ces 25 dernières années, et bien qu'il ait fait Romancing the stone avant le Retour vers le futur, c'est ce film qui a vraiment lancé sa carrière de cinéaste et qui lui a permis de poursuivre avec les excellents Qui veut la peau de Roger Rabbit ?, Forrest Gump, et - petite erreur de parcours - Contact…



Que vous l'aimiez ou que vous le détestiez, Zemeckis est un grand réalisateur et a été à l'origine d'un certain nombre de nouvelles techniques cinématographiques, et puis on oublie souvent trop facilement toute cette crédibilité en tant que scénariste que lui a apporté Retour vers le futur, et qui apporte, au vu de ce fantastique scénario, une impressionnante ligne supplémentaire sur son CV.

Il aurait dû remporter un OSCAR pour Forrest Gump, mais je maintiens que Retour vers le futur reste le meilleur film qu'il ait fait.

51. Marty qui explose l'ampli



“Ça c'est du rock…”

En restant sur la lancée de la première scène parfaite, nous avons juste derrière cet autre moment fantastique qui nous en dit tellement sur les personnages avec pourtant à peine une ligne de texte.

En un clin d'œil, on voit Marty exploser l'ampli géant de Doc avec une toute petite guitare, nous montrant ainsi sa passion pour le rock n’ roll ; son côté un peu rebelle, et ça nous donne l'occasion de constater le penchant évident de Doc pour les inventions tirées par les cheveux.

Voir Marty projeté en arrière à travers la pièce pour avoir seulement joué une note est un moment inoubliable, et c'est l'un des tout petits éléments qui mettent en place l'intrigue, de la façon la plus concise et amusante qui soit.

52. Le gilet pare-balles de Doc



“Mais alors, Doc... Toutes ces histoires sur les risques de modifier le futur ? Le continuum espace-temps ?” – Marty

“Ben, je m'suis dit : On s'en balance !” – Doc

Que serait le plus grand film familial de tout les temps sans une happy-end ?

Après toutes ses gesticulations par rapport aux dommages irréparables du continuum espace-temps, il semblait que Doc n'écouterait jamais l'avertissement de Marty sur sa mort imminente. Quand Marty revient en 1985, son plan de revenir plus tôt a échoué, la DeLorean étant tombée en panne sur la place de Hill Valley. Il regarde donc, impuissant, Doc se faire encore une fois abattre par les Libyens.

Sanglotant sur le corps inanimé de son ami, Marty est subitement choqué quand il voit Doc revenir miraculeusement à la vie, révélant un gilet pare-balles.

Chacun rentre chez soi heureux, et à la fin, pour une fois, le changement des événements dans un film sur les voyages dans le temps est positif.

Ainsi donc vous l'avez, la preuve comme quoi Retour vers le futur est le plus grand film de tous les temps. Je pourrais continuer comme ça encore longtemps, mais alors ce ne serait pas équitable envers les autres…

*****

On pourrait en effet compléter certains points ou en ajouter indéfiniment, notamment en réparant cet oubli regrettable : le mec ne parle pas d'Emma Thompson, dont la fraîcheur indéniable (tout court, mais aussi dans son jeu) contribue à la grandeur du film...

[Stéphanie]

Wouaw !!! Merci bien Renwar !! Ca a du te prendre du temps !!

[renwar]

Merci à toi ! C'est vrai que ça m'a pris... pas mal d'heures !!