Grâce au travail de recherche des plus grandes unités fédérales Américaines, des associations de défense pour chiens, des entreprises de frigorification ayant porté plainte et les enquêtes de nombreux détectives engagés par des familles ruinées à cause de l'œuvre de Zemeckis, voici donc un énième dossier sur cet horrible film qui fait honte à toute l'histoire du cinéma Américain.
J'ai l'occasion sur ce forum de lire des posts d'une grande naïveté, et c'est bien sûr pour cela que j'ai décidé d'y revenir point par point
Par exemple pas plus tard que le 30 septembre dernier, je cite:
CyrilusOne a écrit:Une question tout bête : comment les lybiens pouvaient-ils savoir que Doc serait sur la promenade des deux pins ?
Je ne critique pas CyrilusOne car contrairement à certains il a compris que des choses INVRAISEMBLABLES se trament derrière chaque seconde de scénario de BTTF. Mais ce qui m'a véritablement fait plonger dans la réalité de l'ignorance de certains, c'est la réponse associée à cette question. Je cite pourtant là un des plus éminents membres du forum, avec tout le respect que je lui dois: Mc P. Manu
Mc P. Manu a écrit:Le côté mystérieux, tout peut être envisagé car ce n'est pas montré dans le film.
Le plus logique pour ma part serait que les lybiens auraient bidouillés la ligne de téléphonique de Doc pour pouvoir le filer
Comment pouvez-vous croire à de simples constatations.
Pour avoir la vérité sur cette question, il suffisait simplement d'écrire un mail à Maurizo Alcantalite, éminent défenseur de la lutte contre toutes les formes de discriminations sur le territoire U.S.
(On vois ici à droite Maurizo Alcantalite à droite de la photo, qui boude... La raison est facile à expliquer, il se trouve à côté de Pedro-Enrique Vachekiry, leader du front radical anti-lybien, à gauche sur la photo.)
La réponse Maurizo Alcantalite par mail fut sans attente. L'homme nous précise que selon son enquête, Robert Zemeckis a tout au long de son film, glissé des messages subliminaux anti-lybiens tout en développant une ligne de scénario résolument anti-lybienne.
Dans la scène qui interpelle CyrilusOne, Robert Zemeckis a en réalité voulu cacher le message "les immigrés lybiens sont partout et regardez les dégats que ça engendre".
En effet, comme par enchantement les Lybiens débarquent armés jusqu'aux dents, tout en sachant où se trouve Doc. C'est une des premières scènes du film qui mérite que l'on en fasse un véritable scandale. Ce type de réflexion est typique chez les nationalistes de tout pays qui prennent comme argumentaire l'omniprésence des immigrés et leur faculté hors-norme à être à l'origine de tous les maux de la terre.
Je sais que pour vous, chers fans, c'est dur à admettre, mais il faut se rendre à l'évidence, dès le début du film comme ça, hop une des premières incohérences qui, a aucun autre moment du film, ne cherche à être expliquée, relativisée ou au moins minimisée par le scénario.
De plus, des preuves que Zemeckis était très certainement contre les immigrés lybiens sont nombreuses, comme par exemple cette photographie:
on voit CLAIREMENT sa petite copine de l'époque, Thérèsa-Amélia WilkenBraut qui manifeste dans un rassemblement anti-lybiens.
Si sa petite amie était clairement engagée politiquement, alors il parait être une évidence que Doc l'est aussi au moment du tournage de Back To The Future.
D'autres preuves du racisme de Zemeckis dans la trilogie arriveront très vite.
Veuillez agréer, cher fans, l'expression de mes sentiments les meilleurs.
Sincèrement,
Tocard.
